Mardi 13 septembre 2011 à 15:47

 Quatrième de couverture : Après avoir conquis le monde avec les aventures déjantées de Becky, l'accro du shopping, Sophie Kinsella nous revient avec une nouvelle héroïne, tout aussi inoubliable. Lexi Smart est une fille plutôt normale : vingt-cinq ans, un boulot assez assommant, les dents pas très alignées, le cheveu désespérément terne, quelques kilos en trop, un appart minuscule, un fiancé un peu nul et très fauché et trois super copines avec qui elle fait la fête le vendredi soir. Un beau matin, Lexi se réveille dans une chambre d'hôpital avec un sourire parfait, une cascade de boucles blondes, une silhouette de sirène, un beau gosse de mari richissime... et une amnésie partielle due à un accident de voiture : trois ans de sa vie viennent de s'effacer, Lexi ne se souvient de rien. Qui est cette snobinarde qui prétend être sa meilleure amie ? Depuis quand Lexi vit-elle dans un loft luxueux ? Qu'a-t-elle fait à ses collègues pour qu'ils la surnomment le Cobra ? Et qui est ce mystérieux architecte qui la harcèle de messages ? Pour comprendre comment elle est passée de fille toute simple à garce carriériste, Lexi va devoir fouiller cette parenthèse de trois ans. Et ce qu'elle va y découvrir pourrait bien lui donner quelques leçons pour l'avenir...

MON AVIS : Je reviens à la charge avec un Sophie Kinsella... alors que d'habitude je n'arrive pas à finir un livre, là j'ai envie, que dis-je, besoin de prendre ce livre et le continuer.. Et c'est passé comme une lettre à la poste ! Trop facile à lire, j'adore les univers que crée Sophie. J'aime énormement ce livre qui fait réfléchir sur la valeur des choses. C'est vraiment une lecture fraîche malgré tout. Je me suis attachée aux personnages, surtout Jon. Et c'était sympa de voir les pensée de Lexi sur son nouvel environnement. Et toute la mise en scène à la fin est de toute beauté, et j'étais vraiment heureuse que ça se finisse comme ça.
 
LEXI SMART A LA MEMOIRE QUI FLANCHE : ♥♥♥♥


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Mardi 13 septembre 2011 à 15:53

 Quatrième de couverture  : Le Tiers Age touche à sa fin, et la Terre du Milieu à son crépuscule. La Compagnie de l'Anneau va donc tâcher de déjouer les projets infernaux de Sauron, force du mal d'autant plus difficile à combattre qu'elle est désincarnée. Qui, des cinq héros, mènera à bien la mission ? Gandalf, grand sage qui seul mesure la portée de la quête ? Aragorn, qui dissimule ses origines princières sous les traits d'un rôdeur taciturne ? Frodon et Sam, qui sont chargés de la phase finale de la mission ou Gollum, créature abjecte qui fut un temps dépositaire de l'anneau ? Mais quel est donc le pouvoir de cet anneau tant convoité ? Quelle est donc la signification de l'énigme qui figure en première page, en manière d'épigraphe ?

Tant de questions qui ne sont qu'une infime partie du mystère féerique qui, depuis 1954, ravit l'imagination, autorisée pour un temps à s'attarder dans un séjour magique aux forêts profondes et ancestrales, aux paysages argentés peuplés d'êtres aériens, de jeunes guerrières intrépides, de destriers sauvages ayant la fierté de leurs maîtres, de viles créatures dont la laideur physique reflète la méchanceté... Tous, nous avons rêvé de ce repos de l'âme, de même que nous avons craint, enfants, la menace sourde et inexplicable. Tolkien, lui, a su nommer cet univers, et en faire une épopée passionnante, quête initiatique où l'errance humaine est regardée avec une tolérance rassurante.

Mais quels sont ces petits êtres rigolos et surprenants, ces "hobbits" ? D'où viennent ces accents folkloriques, ce langage essentiel, cette mélancolie onirique qui teinte l'esprit d'un brouillard étrange une fois le volume refermé ?

Tant de questions auxquelles, heureusement, Tolkien ne répond jamais tout à fait malgré les cartes, généalogies, lexiques et autres appendices passionnants que son imagination prolifique a fournis sur La Terre du Milieu.

MON AVIS : Je n'ai lu que le premier tome, c'était vraiment trop long à lire. Trop de détails inutiles, des chants qu'on finit par ne plus lire. Mais voilà l'histoire reste intéressante et donne envie de revoir les films. Parce que si j'ai eu un mauvais avis c'est à cause des mauvaises conditions dans lesquelles je l'ai vu. Mon personnage préféré reste Aragorn qui est très mystérieux et on ne sait pas s'il est gentil ou méchant jusqu'à l'arrivée de la lettre de Gandalf. Donc voilà, enivrant mais trop rempli. 
 
Le Seigneur Des Anneaux : ♥♥

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Mardi 13 septembre 2011 à 16:12

N'ayant pas trouvé de synopsis digne de ce nom, je publie cet article trouvé sur ce site : Cliquez ici.

Talons plats et tenue noire, Sylvia Jeanjacquot a teint ses cheveux mi-longs en blond pour se démarquer de la «belle Italienne» brune du gangster, comme la presse l’a surnommée. A 57 ans, cette dame à l’air sage, voyante à ses heures, avance à petits pas, s’accroche à la rampe des escaliers et s’agrippe au sac de Roméo. Elle a remplacé Fripouille, le caniche abricot tué le même jour que son homme, porte de Clignancourt à Paris par les flics de l’antigang. C’était le 2 novembre 1979, le jour de son anniversaire. Au lieu du rendez-vous à Marly-le-Roi (Yvelines) avec le décorateur de l’appartement que«Jacques» lui achetait «pour [la] mettre à l’abri», puis du dîner aux chandelles pour ses 28 ans, Sylvia Jeanjacquot a encaissé sept balles policières, a perdu son amoureux et son chien, son œil gauche et son os du poignet droit. Elle savait bien que l’alliance en diamants offerte lui «porterait malheur» car «je suis superstitieuse», mais avec «l’ennemi public», on ne discute pas. Elle n’a pas eu le temps de l’épouser, comme prévu, «en braquant le maire du VIIIe arrondissement, en jean et baskets pour courir».

Sylvia Jeanjacquot ne regrette rien de ces dix-huit mois de clandestinité passés aux côtés de Jacques Mesrine : «J’ai suivi l’homme que j’aimais jusqu’au bout.» Gardienne de sa mémoire, elle n’entend «pas le glorifier», mais son Mesrine ne correspond pas à ses yeux au personnage incarné par Vincent Cassel dans le diptyquede Jean-François Richet : «On nous fait passer pour deux loques humaines qui picolent et font l’amour tout le temps, et pour deux hystériques. Cassel est trop énorme. Jacques était massif, mais pas aussi gros. Ils le font fumer et se promener la bidoche à l’air. Or, dans la vie intime, l’ennemi public était pudique et portait un pyjama boutonné jusqu’en haut.» Elle ne supporte pas plus de se voir incarnée par Ludivine Sagnier : «Je ne suis pas cette petite chose fragile.» Elle en veut au producteur Thomas Langmann, qui lui a «proposé seulement 20 000 euros payables en deux ans» pour acheter les droits d’adaptation de son livre publié en 1988,l’Instinct de vie. En écho à l’Instinct de mort de son défunt braqueur. Elle a refusé, puis a exigé de visionner le film au nom du «respect de l’intimité de la vie privée».Elle ne mâche pas ses mots à l’égard de Charlie Bauer, dernier complice de Mesrine et conseiller technique sur le film : «Il était à la rue, à moitié clochard quand il a connu Jacques, deux mois avant sa mort. Contrairement à son personnage dans le film, Bauer était comme une carpette face à Jacques. Je l’ai vu baisser la tête et ne pas moufter.» Intarissable, Sylvia Jeanjacquot peste aussi contre les anciens flics ou voyous qui «salissent» Mesrine à l’instar de son ex-associé «Porte-Avions» : «Je serais un mec, je lui en collerais une. Jacques n’était pas un ange mais il était généreux et courageux.» En tant que dernière compagne de Mesrine, elle croit le connaître mieux que tout le monde.

Barmaid dans un bar à hôtesses de Pigalle, Sylvia Jeanjacquot n’avait «jamais entendu parler de Jacques Mesrine» lorsqu’elle l’a rencontré au comptoir en juin 1978, «en bleu de travail, casquette et salopette, cheveux rouquins et calvitie» . «Aucune fille ne voulait lui tenir compagnie. Il est resté au bar. J’ai discuté avec lui, je l’ai trouvé très galant et observateur.» La voilà séduite par ce «je ne sais quoi de Jean Gabin dans son accent gouailleur et parisien», selon ses mots dans l’Instinct de vie. Il revient tous les jours pendant un mois. Il s’appelle soi-disant Pierre et bosse dans le BTP. Un dimanche de juillet, il l’emmène sur sa «grosse moto Honda 750 dans un petit zoo» et essaie de savoir si elle a des doutes : «Tu suis les nouvelles ? As-tu entendu parler d’un évadé ?» Elle répond «vaguement, oui» mais ne sait rien, en fait. Il se prétend alors avocat : «Je faisais ça pour tester tes sentiments», explique-t-il. Elle sent bien qu’il y a un mystère derrière cet homme : «Tu n’as pas l’air d’un avocat non plus.»Il l’affranchit dans un petit hôtel : «Je suis Jacques Mesrine.» Elle, désolée : «Je ne vois pas qui c’est…» Il veut qu’elle soit de la cavale. Elle hésite. Il l’emmène dans sa planque passage Charles-Albert (XVIIIearrondissement), «un studio cracra, pourri» et lui montre «une pile de coupures de journaux. Lis ça, je veux que tu prennes conscience de ce que j’ai fait avant de te décider».Elle survole les articles : «Il m’a fait lire aussi l’Instinct de mort. Ça ne m’a pas plu. Je n’aimais pas ce personnage.»

Fille aînée de commerçants de Pavillon-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), Sylvia Jeanjacquot n’est ni une sainte-nitouche ni une potiche. Après l’école qu’elle a quittée à 16 ans sans le brevet, elle a été vendeuse de sous-vêtements féminins jusqu’à 21 ans, puis a eu «un mode de vie un peu marginal», dit-elle pudiquement. Elle a été prostituée et casseuse aussi mais «ne veut pas parler de ces épisodes». Pas plus que de sa fille née en 1975 et élevée par ses parents. Elle dit juste : «Je ne débarque pas non plus quand je rencontre Jacques Mesrine. Venue du monde de la nuit, je connaissais les petits casseurs qui venaient fourguer manteaux de fourrure et bijoux volés aux filles du bar.» Elle a donc suivi Mesrine, alias «Bruno», dans sa fuite en Italie, au Maroc et à Londres, dans ses planques minables du XVIIIe à jouer au Mastermind, à dîner sur la table en formica des plats mijotés, à dormir sur un matelas en mousse et à regarder les infos télévisées«commentées par Jacques». Elle assure qu’elle n’a pas voulu jouer «à Bonnie and Clyde» avec «l’ennemi public». Elle l’a cependant accompagné jusque dans ses crimes - pas dans ses coups médiatiques -, mais le niera toujours, taiseuse comme une femme de truand : «J’ai été acquittée aux assises de complicité du kidnapping du milliardaire et relaxé de dix chefs d’inculpation, comme recel de malfaiteurs, détention d’armes, de faux papiers…» Elle a du cran. Elle n’a «jamais eu peur avec lui».«C’est le seul homme que je n’ai pas eu envie de quitter, mais on me l’a tué», dit-elle, émue.

Le «Jacques» qu’elle a connu était «charmant, attentionné, délicat». «Je ne l’ai jamais vu méchant, mais je l’ai vu commencer à s’énerver. Une fois, il a voulu balancer des grenades au Parisien à cause d’un article qui disait du mal de lui. J’essayais de le calmer. On est allé à pied la nuit du XVIIIe à Saint-Ouen [Seine-Saint-Denis, ndlr] et devant les locaux du journal, je lui ai dit qu’il n’allait quand même pas tuer un pauvre gardien. Il m’a écoutée.» Mesrine ne se séparait jamais de ces deux grenades qui ont été retrouvées sur le sol de sa BMW le jour où les flics l’ont abattu, dont l’une dégoupillée. «Jacques jouait avec sa grenade à la maison, il faisait mumuse, mais à force de la tripoter, la capsule s’est décrochée. Comme on les trimballait tout le temps, on a mis un élastique autour pour qu’elle ne nous pète pas au nez.» Selon elle, Mesrine préparait sa retraite en Italie et abandonnait même «la seconde remise de rançon de Pépé [le milliardaire] prévue le 21 novembre 1979». «Il en avait marre d’être l’ennemi public.»

Depuis, Sylvia Jeanjacquot a travaillé comme libraire, vendeuse. Elle tire les tarots pour ses amies, veut monter un cabinet de voyante. En couple depuis vingt ans avec un entrepreneur du bâtiment, elle apporte de temps en temps une plante à Mesrine sur sa tombe à Clichy (Hauts-de-Seine). Pas le jour de sa mort, à cause des photographes.

MON AVIS : J'ai beaucoup apprécié ce témoignage. Ca humanise vraiment Jacques Mesrine et ça sort des grands clichés des bandits. Je me suis laissée prendre au jeu. Je me suis mise à imaginer les perruques, etc.... Le jeu de cache cache avec la police. La pauvre Sylvia qui subit un peu tout ça juste parce qu'elle est tombée amoureuse. Par contre faut qu'on m'explique... ce livre et le film "sans armes, ni haine, ni violence" n'ont rien à voir donc ... J'ai nettement préféré le livre bien sûr ! 

INSTINCT DE VIE : ♥♥♥

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Mardi 4 octobre 2011 à 11:08

Quatrième de couverture :   « Trempée jusqu’aux os et totalement nue, elle est apparue sur ma terrasse au beau milieu d’une nuit d’orage.

                                  — D’où sortez-vous ?

                                  — Je suis tombée.

                                  — Tombée d’où ?

                                  — Tombée de votre livre. Tombée de votre histoire, quoi ! »



Tom Boyd, un écrivain célèbre en panne d¹inspiration, voit surgir dans sa vie l’héroïne de ses romans.

Elle est jolie, elle est désespérée, elle va mourir s’il s’arrête d’écrire. Impossible ? Et pourtant…

Ensemble, Tom et Billie vont vivre une aventure extraordinaire où la réalité et la fiction s’entremêlent et se bousculent dans un jeu séduisant et mortel...

 

 

Une comédie vive et piquante

Un suspense romantique et fantastique

Quand la vie ne tient plus qu’à un livre !

MON  AVIS : Il fallait que j'essaye de lire son dernier livre même s'il reste d'autres livres que je n'ai pas lu de lui. Le début était un peu long, mais il était nécessaire au déroulement du livre... Et j'ai vraiment aimé la suite. Lui et Lévy ont toujours des histoires un peu folles... Bon, là, il y avait une explication. Dans un sens, ça m'a beaucoup rappelé Et si c'était vrai, et j'adore ce genre d'histoires... Donc, je suis aux anges. Je me suis vraiment attachée aux personnages, et j'ai aimé voir comment ils se rapprochaient, etc... J'aime leur voyage jusqu'au Mexique, les folies qu'ils font, la course après LE livre... Même si je la trouvais abusée, et longue... Le truc du médecin aussi était complètement fou, mais bon, jusqu'au bout j'ai cru à cette histoire magique.

LA FILLE DE PAPIER : ♥♥♥

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Dimanche 16 octobre 2011 à 10:43

 Quatrième de couverture : Concentration : la dernière-née des émissions télévisées. On enlève des gens, on recrute des kapos, on filme… Tout de suite, le plus haut score de téléspectateurs, l’audimat absolu qui se nourrit autant de la cruauté filmée que de l’horreur dénoncée.
Etudiante à la beauté stupéfiante, Pannonique est devenue CKZ 114 dans le camp de concentration télévisé. Le premier sévice étant la perte de son nom, partant de son identité. Zdena, chômeuse devenue la kapo Zdena, découvre en Pannonique son double inversé et se met à l’aimer éperdument. Le bien et le mal en couple fatal, la victime et le bourreau, la belle et la bête aussi. Quand les organisateurs du jeu, pour stimuler encore l’audience, décident de faire voter le public pour désigner les prisonniers à abattre, un tollé médiatique s’élève mais personne ne s’abstient de voter et Pannonique joue sa vie…
Les jeux du cirque modernes : téléréalité, voyeurisme, ignominie, bonne conscience, dénonciation moralisante y ont partie liée. Un monde de bêtise et de cruauté, d’hypocrisie bien-pensante où l’individu a perdu toute liberté d’agir puisque tout est récupéré, où même la dénonciation du système appartient au système. Et cependant qui dit victime dit désir de sauver sa peau. En premier chef de reconquérir la faculté de nommer, le début de l’humanité selon Nothomb…
 
L'AVIS DE CLOW : Voilà un livre bien singulier, qui peut clairement pousser à réfléchir. Jusqu'où la télé serait-elle prête à aller pour faire de l'audimat ? Ici les gens sont kidnappés dans la rue et forcés de participer à "Concentration", un jeu de télé-réalité qui se passe dans un... camp de concentration. Certains sélectionnés deviennent les kapos, c'est-à-dire les tortionnaires des pauvres prisonniers. Ces derniers sont totalement déshumanisés car on ne les nomme plus que par un matricule. L'histoire met surtout en scène la belle Panonnique alias CKZ 114, deux de ses camarades d'infortune, et la kapo Zdena. D'autres personnages sont évoqués afin de montrer la diversité des prisonniers ainsi que celle de leurs châtiments. L'horreur atteint son paroxysme lorque le système d'élimination change, et que ce ne sont plus les kapos mais le public qui doit choisir les victimes en votant... ce qui vaut à l'émission d'atteindre son but ultime : les 100 % d'audience.
Acide sulfurique se lit très vite car il n'y a pas beaucoup de pages, mais aussi parce que l'histoire tient en haleine, on a vraiment envie de savoir comment ça va se terminer. On lit sans s'en rendre compte, mais je pense que c'est le genre de livre qu'on n'oublie pas si facilement. On espère juste qu'un te scénario restera à jamais fictionnel.
 
ACIDE SULFURIQUE : ♥♥

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Mardi 25 octobre 2011 à 23:03

Quatrième de couverture : Quand un satellite de la Nasa détecte un météorite d’une exceptionnelle rareté enfoui sous les glaces du cercle arctique cela tombe à pic pour l’agence spatiale, impatiente de faire oublier une série d’opérations ratées et fort onéreuses qui mettent en danger son existence même. En effet, l’un des candidats à l’élection présidentielle imminente est décidé à revoir de façon radicale la politique spatiale. Alors que son avenir politique est en jeu, le Président des Etats-Unis envoie dans l’Arctique Rachel Sexton, analyste des services secrets, vérifier l’authenticité de cette découverte. Elle est accompagnée d’une équipe d’experts, dont le charismatique océanologue Michael Tolland. Ce que Rachel découvre est presque inconcevable : les preuves d’une falsification scientifique, une mystification audacieuse qui menace de déclencher une controverse mondiale. Mais avant même que Rachel puisse informer le président, elle-même et Tolland se trouvent aux prises avec une équipe de tueurs implacables. En fuite dans un univers aussi sauvage que dangereux, tous deux n’ont qu’un espoir de survie : découvrir qui se cache derrière une si magistrale supercherie.

MON AVIS : Bon Dieu, autant j'avais aimé Anges et Démons autant là... j'ai pas pu. Tout simplement, je n'ai pas fini le livre... Je le continuais avec l'espoir qu'enfin il se passe quelque chose d'incroyable ! Plus de 200 pages et toujours rien ? Le début de quelque chose d'intéressant à peine... Même ce qui était censé être une découverte m'a paru bien pâle. Enfin, ils nous ont tellement dit que c'était quelque chose de surprenant, d'inédit et ils ont tellement fait traîner en longueur, à chaque fois que ça allait être révélé, c'est passé à autre chose. Bref, je suis vraiment partie sur une mauvaise image de ce livre où clairement il ne se passe rien. J'attends les énormes révélations et j'attends, encore et encore... Et ça m'ennuie. Bon, après je suis forcée de reconnaître que si ça se passait en vrai, ça m'étonnerait, mais bon, là dans un livre, c'est trop ... prévisible. Bref, un jour peut-être je finirais ce livre, en attendant, ce livre est une grosse déception ! (! Faux Amis : Déception : Disappointment. Deception : Supercherie)

DECEPTION POINT : ♥

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Jeudi 3 novembre 2011 à 12:32

Quatrième de couverture :  « L’homme qui va le plus compter dans ta vie vient de passer dans ton dos. Pour le retrouver, tu devras entreprendre un long voyage et rencontrer les six personnes qui te mèneront jusqu’à lui… Il y a deux vies en toi, Alice. Celle que tu connais et une autre, qui t’attend depuis longtemps. » 

Londres, 1950 

Alice mène une existence tranquille, entre son travail, qui la passionne, et sa bande d’amis, tous artistes à leurs heures. Pourtant, la veille de Noël, sa vie va être bouleversée. Au cours d’une virée à la fête foraine de Brighton, une voyante lui prédit un mystérieux avenir. Alice n’a jamais cru à la voyance, mais elle n’arrive pas à chasser ces paroles de son esprit, et ses nuits se peuplent de cauchemars qui semblent aussi réels qu’incompréhensibles. Son voisin de palier, Monsieur Daldry, célibataire endurci, gentleman excentrique et drôle, aux motivations ambiguës, la persuade de prendre au sérieux la prédiction de la voyante et de retrouver les six personnes qui la mèneront vers son destin. De Londres à Istanbul, il décide de l’accompagner dans un étrange voyage…

MON AVIS : Comparé à Deception Point, j'ai lu ce livre comme on mange une boite de chocolat. On entre dans l'histoire assez facilement, on se plait à rencontrer tous les personnages, à lire les descriptions qui sont souvent énormes mais ne sont pas pesantes. Enfin, d'un côté je trouve que le livre est rempli de descriptions sur ce qu'ils font, ce qu'ils mangent, et donc c'est négatif. Mais souvent, elle parle des odeurs, des choses de l'enfance, et ça m'émerveille. L'histoire est très belle, et on se plait à rencontrer un à un les personnages. C'est un peu improbable tout ça quand même, et il y a des choses qui étaient évidentes. 

L'ETRANGE VOYAGE DE MONSIEUR DALDRY : ♥♥

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Mardi 8 novembre 2011 à 23:36

 Un téléphone portable ?

Au début, vous n’en voyez pas vraiment l’utilité, mais pour ne pas paraître dépassée, vous vous êtes laissé tenter par un modèle très simple avec un forfait basique. Les premiers temps, vous vous êtes parfois surprise à bavarder un peu trop fort, au restaurant, dans le train ou à la terrasse des cafés. C’est vrai, que c’était pratique et rassurant d’avoir toujours la famille et les amis à portée de voix.

Comme tout le monde, vous avez appris à rédiger des SMS en tapant sur un clavier minuscule et vous vous êtes habituée à en envoyer à tour de bras. Comme tout le monde, vous avez renoncé à votre agenda pour le remplacer par sa version électronique. Avec application, vous avez saisi dans le répertoire les numéros de vos connaissances, de votre famille et de votre amant. Vous y avez camouflé ceux de vos ex ainsi que le code de votre carte bleue qu’il vous arrive d’oublier.

Même s’il prenait des clichés de piètre qualité, vous avez utilisé l’appareil photo de votre portable. C’était sympa d’avoir toujours sur soi une photo rigolote à montrer aux collègues. D’ailleurs, tout le monde faisait pareil. L’objet collait à l’époque : les cloisons s’effaçaient entre vie intime, vie professionnelle et vie sociale. Surtout, le quotidien était devenu plus urgent, plus flexible, nécessitant en permanence de jongler avec votre emploi du temps.

 

Récemment, vous avez changé votre vieil appareil contre un modèle plus perfectionné : une petite merveille vous permettant d’avoir accès à vos mails, de naviguer sur Internet et d’y télécharger des centaines d’applications.

C’est là que vous êtes devenue accro. Comme greffé à votre corps, votre mobile est désormais un prolongement de vous-même qui vous accompagne jusque dans votre salle de bain ou vos toilettes. Où que vous soyez, vous laissez rarement passer plus d’une demi-heure sans regarder votre écran, guettant un appel resté en absence, un message intime ou amical. Et si votre boîte mail est vide, vous cliquez pour vérifier qu’aucun courrier n’est en attente.

Comme le doudou de votre enfance, votre téléphone vous rassure. Son écran est doux, apaisant, hypnotique. Il vous donne une contenance dans toutes les situations et vous offre une facilité de contact immédiat qui laisse ouverts tous les possibles.

Prologue de L'appel de l'ange
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Dimanche 13 novembre 2011 à 13:57

Quatrième de couverture :  Dans leur téléphone,
il y avait toute leur vie...

New York. Aéroport Kennedy.
Dans la salle d embarquement bondée, un homme et une femme se télescopent. Dispute anodine, et chacun reprend sa route.
Madeline et Jonathan ne s étaient jamais rencontrés, ils n auraient jamais dû se revoir. Mais en ramassant leurs affaires, ils ont échangé leurs téléphones portables. Lorsqu ils s aperçoivent de leur méprise, ils sont séparés par 10 000 kilomètres : elle est fleuriste à Paris, il tient un restaurant à San Francisco.
Cédant à la curiosité, chacun explore le contenu du téléphone de l autre. Une double indiscrétion et une révélation : leurs vies sont liées par un secret qu ils pensaient enterré à jamais...

Entre comédie romantique et thriller de haute volée
Une intrigue magistrale portée par des personnages bouleversants
Un final virtuose

MON AVIS : J'ai tout de suite été charmée par la réflexion que j'ai publié il y a quelques jours que Musso nous offre dans son prologue. En effet, nous sommes tous accros à nos téléphones, à Internet, et ça a changé notre façon de communiquer et d'envisager la vie. Je ne suis pas philosophe, je suis là pour vous parler du livre. Je me demandais tout de même où il voulait en venir notre cher Musso avec toute cette histoire de téléphone portable... Et au final, on tombe sur quelque chose d'assez tiré par les cheveux, encore une fois... Mais j'ai vraiment accroché à cette histoire, à ces personnes très attachants, à tout de suspens, cette action... C'est réellement improbable mais nous sommes là pour rêver, pour imaginer... Et nous vivons l'histoire, et nous l'aimons, car elle est d'une beauté... J'aimais beaucoup lire les passages avec la fille, moins avec le mec car il était peu chiant, mais au final... C'est vraiment un livre à lire.

L'APPEL DE L'ANGE : ♥♥♥

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Jeudi 2 février 2012 à 20:10

 Quatrième de couverture : Une bande de copains

Des monstres attachants

Des pouvoirs surnaturels

Un lycée comme scène du crime

Des tenues fashions et gothiques

Un univers graphique fort


Et de l'humour... beaucoup d'humour!!!

L'AVIS DE CLOW :  C'est bien évidemment un roman pour adolescentes, mais comme je suis restée très jeune dans ma tête, j'ai décidé de le lire lorsque je suis tombée dessus par hasard à la bibliothèque. Ça faisait longtemps que je n'avais pas lu de chick lit, je me suis donc dit "pourquoi pas". Monster High raconte l'histoire de deux filles : Mélodie, une "normie" (c'est-à-dire une humaine) à peu près comme tout le monde, si on oublie le fait que son père, chirurgien esthétique, lui a refait le visage alors qu'elle n'est qu'une ado; et Frankie Stein, qui comme son nom le laisse supposer est un monstre, ou plutôt une RAD (Résistante à l'Apparence Dominante). Leurs histoires vont finir par se croiser puisqu'elles arrivent toutes deux au lycée de Merston High (remarquez l'anagramme). Elles vont donc évoluer dans le même environnement, rencontrer les mêmes camarades... Cependant ce n'est que vers la moitié du livre que le titre prend tout son sens. Mélodie et Frankie sont les héroïnes car l'histoire est racontée de leur point de vue mais  de il y a de nombreux autres personnages. J'ai trouvé ce bouquin très sympa, il y a beaucoup de références à la culture actuelle : par exemple Frankie est fan de Lady Gaga, et dès qu'un personnage entre en scène, sa tenue vestimentaire est décrite dans le moindre détail, nom de marque compris. C'en est même parfois excessif. Par certains moment, ce livre m'a fait penser à une série pour enfants, appelée "Drôles de petits monstres", et qui passait sur France 5 quand  j'étais au collège. Ça racontait le quotidien d'une école dont tous les élèves étaient des monstres, et j'ai trouvé que Monster High pouvait en quelque sorte en être une version lycée. Si j'ai un jour l'occasion de lire la suite, je ne m'en priverai pas. C'est un livre idéal pour se changer les idées, passer un bon moment, qui se lit facilement et rapidement. Je terminerai sur une remarque : j'ai été très surprise en allant au supermarché et que j'ai vu qu'il existait des poupées Monster High, et apparemment il y a aussi un dessin
animé... Donc c'est vraiment un truc de gamines en fait ^^

MONSTER HIGH : ♥♥♥

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