Les Joyeux guérissent toujours

Vendredi 17 juillet 2015 à 16:52

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Quatrième de couverture : "Les joyeux guérissent toujours" a dit François Rabelais. Cette phrase, Patrick Sébastien en a fait sa maxime, sa leçon de vie, son étendard ; pour faire face aux chagrins, aux blessures, aux deuils, aux défaites et aux trahisons que nous inflige la vie, une seule solution : la Joie. C'est cette philosophie qu'applique chaque jour Patrick Sébastien que la vie n'a pas toujours épargné. Au fil des anecdotes de ce journal intime, il nous confie ses éclats de rire, lui qui s'amuse de tout, parce que "le quotidien est tant imprévisible et irréversible qu'en sourire est bien plus jouissif que d'en pleurer". Un livre qui fait du bien...

MON AVIS : Mon avis sera écrit comme le fait Patrick Sébastien, à l'instinct et à l'instant. Sans ratures. (Même si j'avoue je viens de recommencer une fois, mais ça compte pas.) A mes lecteurs habituels, ne soyez pas perdus, ce sera bien une critique. Mais écrite sous forme de lettre à M. Sébastien, parce que ce matin, j'ai cherché à lui écrire. Mais pourquoi faire ? Et comment ? Donc, plutôt que d'aller l'importuner et passer pour une folle auprès de mon entourage, je vais essayer de lui lancer une bouteille à la mer. On sait jamais, peut-être qu'un jour, il lira cela. Puis sinon, ça m'aura simplement permis de lui dire ce que je pensais, mais sans regretter, et sans trop m'embêter... je vous dis, si je raconte que je veux écrire à Patrick Sébastien, on va aller m'interner à Ste Marie. (ndlr : hôpital psychiatrique de Haute-Loire).

M. Sébastien, ou plutôt M. Boutot,

Je viens donc de finir trois livres que vous avez écrit, et j'attaque même "Dehors il fait beau, hélas...". Lorsque ma belle-mère m'a prêté vos livres après lui avoir dit que j'adorais les biographies, j'ai vraiment accepté à contre-coeur, pour ne pas la vexer. Je n'avais regardé que quelques instants vos émissions, je n'aime pas le cirque. Et je vous trouvais vulgaire, et un peu pathétique si on peut dire. Disons que sans vous connaître, j'ai un peu jugé sur les dires des gens, les deux ou trois chansons que l'on connaît, votre amitié avec Cyril Hanouna que je ne peux pas encadrer.... Bref, j'ai été aussi bête que les gens que vous décrivez dans vos livres. Mais faut pas m'en vouloir, je suis humaine... J'ai lu en premier "Tu m'appelles en arrivant" car c'était celui que ma belle-mère m'a conseillé de lire en premier étant donné l'émotion qui dégage de ce livre. Et c'est comme ça que j'ai appris à vous connaître, à connaître votre parcours. A découvrir autre chose qu'un gros con pervers... Du moins "pervers" entre guillemet. Là encore, faut pas m'en vouloir. On ne m'a jamais parlé de sexualité étant plus jeune, j'étais plutôt "coincée" comme on dit. Et là encore, j'ai apprécié ce que j'ai lu. Parce que même si vous avez eu une sexualité douteuse, digne des plus grands détraqués du monde, il y avait des règles dans vos jeux... Et c'est vraiment cela que j'ai apprécié. Vous êtes un outsider, un déluré de la vie. Vous vivez au delà des règles de bienséance d'une société, mais sans tomber dans l'extrême, avec honneur. Un bandit gentleman. Quand à vos blagues sans limite (notamment avec ces policiers qui vous demandent de décliner votre identité et auxquels vous répondez être Charles de Gaulle...), même si elles vont souvent loin, et parfois même dans des situations tristes, j'ai compris la finalité. Ce sont à chaque fois de très belles leçons de vie dans vos livres. Il ne faut pas se plaindre, je n'ai pas à me plaindre. Je suis une privilégiée de la vie. Je fais partie de la classe moyenne, j'ai suffisamment d'argent pour vivre confortablement, sans toutefois en avoir trop pour éviter de perdre de vue les choses importantes. La seule chose qui ne va pas dans ma vie, c'est le travail, mais le travail n'a jamais été censé être une partie de plaisir. Merci en tout cas de toutes ces anecdotes qui sont parfois tellement grosses qu'on se demande même si elles n'auraient pas été inventée. Merci de nous rappeler que le plus important c'est d'être heureux et d'être présent pour la famille. Bonne continuation pour vous. Et je voudrais finir en parlant de votre remise en question de vos émissions télé... Si vous ne vous sentez plus en phase avec ce milieu, que vous battre vous épuise. Je pense que votre célébrité vous a permis d'amasser assez d'argent pour voir la suite venir en étant à la retraite à profiter de Lily et de Nana. La télé a commencé avant vous, et continuera encore après vous. Mais profitez encore de votre vie pour être Joyeux, uniquement Joyeux.

LES JOYEUX GUERISSENT TOUJOURS : ♥♥♥♥


Un jour une histoire

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Ca s'est fait comme ça

Vendredi 17 juillet 2015 à 17:08

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Quatrième de couverture : Un destin singulier, un artiste puissant, un homme libre que les mots dévoilent avec justesse, force et pudeur. Artiste magnifique et extravagant, Gérard Depardieu se laisse conduire depuis l'enfance par sa voix intérieure. Elle lui dicte sa vie, ses choix, sa façon d'être et de regarder le monde. C'est cette voix, d'une absolue sincérité, que ce livre est parvenu à capter pour la première fois. Dès la première page, Gérard Depardieu nous ouvre son âme, on entre dans son monologue intime et, ainsi, on se met à regarder le monde avec ses yeux. Les yeux d'un enfant qui n'aurait pas dû naître, dont l'école n'a pas voulu, qui n'a rien à perdre puisqu'il ne possède rien et qui va passer sa vie à forcer le destin. Voyou à quatorze ans, devenu comédien par hasard, il a inventé sa vie en homme libre, sans préjugés ni attaches, ignorant les codes, entrant où il avait envie d'entrer et s'accordant partout le soleil. " Je ne dirais pas : qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse, écrit-il, mais plutôt : donnez-moi ce flacon que je m'enivre de ce que je ne sais pas. "

MON AVIS : J'ai découvert Gérard Depardieu dans Cyrano de Bergerac quand on étudiait l'oeuvre au lycée. A l'époque, j'avais simplement apprécié la tirade et les belles paroles prononcées avec une intonation qui m'avait transportée. Ce n'est que quand j'ai découvert le Compte de Monte-Cristo avec avoir visité le château d'If il y a deux ou trois ans que ma passion m'est revenue en plein visage. J'ai enchainé ensuite avec les Misérables, où encore une fois, j'ai vraiment apprécié le personnage. Trois histoires qui m'ont réellement marquée et dont je n'ai même pas parlé dans ce blog alors que ce sont les meilleurs films français que j'ai jamais vu ! Peut-être une autre fois, là je suis très motivée pour rattraper le temps perdu de mes livres lus depuis un petit moment. Alors parlons de ce qui nous intéresse. L'autobiographie de Gérard Depardieu. Il était passé un soir à la télé pour parler de sa biographie, et depuis je n'avais qu'une idée en tête : découvrir l'envers du décor. J'idolâtre ce comédien et j'espère voir un maximum de ses films dans les années à venir, en espérant toutefois éviter les navets... Mais l'homme, je ne le connais pas. L'actualité ne joue pas vraiment en sa faveur. Qu'à cela ne tienne, j'ai lu. J'ai souvent trouvé cela vulgaire (pas autant que Patrick Sébastien toutefois). Au final, le livre est court, il n'a pas vraiment eu le temps de s'épancher sur toute sa vie. Ce sont des petits passages permettant de comprendre son enfance et pourquoi il est l'homme qu'il est aujourd'hui. C'est vrai que lui non plus n'a pas eu une enfance facile. Et la mort de Guillaume restera sans doute une épine dans son pied qu'il ne pourra jamais enlever. Je comprends donc pourquoi il est comme il est. Qu'on le laisse vivre sa vie tranquille, et qu'on honore sa contribution au cinéma français. 

CA S'EST FAIT COMME CA : ♥

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Merci pour ce moment

Vendredi 17 juillet 2015 à 17:17

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 Quatrième de couverture : Un jour, un amour violent a incendié ma vie. Il avait quatre enfants. J’en avais trois. Nous avons décidé de vivre ensemble. Mais la politique est une passion dévorante. Parti de très loin, François Hollande a été élu président de la République. J’ai été aspirée dans son sillage.
Le pouvoir est une épreuve pour celui qui l’exerce, mais aussi pour les siens. À l’Élysée, je me sentais souvent illégitime. La petite fille de la ZUP en première dame : il y avait quelque chose qui clochait.
J’ai appris l’infidélité du Président par la presse, comme chacun.
Les photos ont fait le tour du monde alors que j’étais à l’hôpital, sous tranquillisants. Et l’homme que j’aimais a rompu avec moi par un communiqué de dix-huit mots qu’il a dicté lui-même à l’AFP, comme s’il traitait une affaire d’État.
Tout ce que j’écris dans ce livre est vrai. Journaliste, je me sentais parfois à l’Élysée comme en reportage. Et j’ai trop souffert du mensonge pour en commettre à mon tour.

MON AVIS : Oui, je sais ce que vous vous dites. Oui, j'ai acheté ce livre. J'étais curieuse que voulez-vous. Non mais vous vous rendez compte ? C'était la première fois qu'on écrivait sur le Président au pouvoir, et d'une personne qui était à l'intérieur de tout ça... Bref, j'ai fait les poubelles comme j'ai entendu dire. Et au final, je suis assez mitigée sur l'avis. Finalement, il n'y a pas eu les grosses révélations promises par la publicité suscitée par la sortie de ce livre. J'ai simplement lu une femme blessée, essayer de donner sa version de la situation. C'était un exutoire pour elle, et c'est tout. C'est la première fois que je lisais une autobiographie de quelqu'un de connu. Au départ, je ne voyais pas ce que les gens pouvaient raconter dans les livres... A quel point la vie de célébrité était dure ? Bref, tout ça pour dire que je ne recommande pas ce livre. Qui a dit "on aurait pu s'en douter" ? Il est bien si on souhaite un peu connaître la personne, mais je n'ai pas vraiment trouvé de passages intéressants.

MERCI POUR CE MOMENT : ♥

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Une envie de vérité

Vendredi 17 juillet 2015 à 17:30

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 Quatrième de couverture : "Je suis une personne simple qui a eu une vie compliquée. Un tel aveu pourra surprendre, il n'en est pas moins vrai. Mes aspirations m'ont toujours poussée vers une existence discrète, consacrée à ma famille et au souci des autres, alors que la vie prenait plaisir à me placer sous les projecteurs de l'actualité. Longtemps je m'en suis accommodée, mais je restais légèrement en retrait. D'où quelques maladresses et de nombreux malentendus. J'ai regretté les premières et souffert des seconds. Mais au final, est-il si surprenant qu'on se soit beaucoup trompe sur mon compte alors que, moi-même, je ne savais plus toujours qui j'étais ?" Pour la première fois, Cécilia Attias nous livre le récit de sa vie hors du commun. De son enfance heureuse à son premier mariage avec Jacques Martin, de sa rencontre avec Nicolas Sarkozy et leur vie dans les palais de la République à sa séparation d'avec l'ancien président pour épouser Richard Attias et courir le monde afin d'aider les autres, elle n'omet rien. Et parce que l'image d'une personne correspond rarement à sa réalité - surtout quand les médias s'en emparent -, le lecteur découvrira ici un être qu'il ne soupçonnait pas : une femme de coeur et de décisions, guidée par ses valeurs autant que par son goût de la liberté. Dans ce livre élégant et passionné, celle qui s'est révélée sur la scène internationale en obtenant de Kadhafi la libération des infirmières bulgares prouve que la plus noble des qualités est l'indépendance de ton, comme d'esprit.

MON AVIS : Après avoir lu le livre de Valérie Trierweiler, il fallait bien que je ne fasse pas de jalouses. J'avais acheté ce livre à mon père à sa sortie car il adore la politique et il aime lire des livres sur l'actualité, l'économie. Et là, il s'agissait encore d'un bon moyen pour voir l'envers du décor. C'est pas pareil de lire un livre de politique chiant sur les actes des responsables politiques, ou de lire leur vie grâce à leurs compagnes. Ca les rend plus humains. Et voyez-vous autant avant de lire Valérie Trierweler ou Cécilia Attias, je faisais plutôt partie de la Team Hollande, autant après... ma préférence allait franchement à Sarkozy. Mais sans réellement parler politique, juste de l'homme, de la droiture, des valeurs... Bah, oui, il a vraiment la classe Sarkozy d'être allé discuter avec Human Bomb à Neuilly. A l'époque, je ne m'intéressais ni à la politique, ni aux infos. Dès que j'avais le malheur d'allumer la télé pendant le JT, j'en ressortais avec des angoisses de bombes nucléaires, de mort... Donc, je n'avais jamais su qu'il y avait eu cette histoire. Moi j'avais vu ça qu'à NCIS, et c'était une fiction. J'ai mis en tout cas beaucoup de temps à entrer dans le livre, car elle parlait beaucoup de sa grand-mère, de la musique qu'elle adorait. J'ai commencé à vraiment m'intéresser lorsqu'elle a parlé de sa vie dans les différents ministères, de la difficulté d'avoir une vie privée, de vivre une vie "normale". Je dirais qu'il s'agit d'un livre qui montre exactement ce que j'avais envie de savoir. Qui humanise réellement ces gens d'en haut. 

UNE ENVIE DE VERITE : ♥♥

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L'instant présent

Vendredi 17 juillet 2015 à 17:53

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Quatrième de couverture : Lisa et Arthur n'ont rendez-vous qu'une fois par an. 
Il passe sa vie à la chercher...
...  elle passe la sienne à l'attendre.

Lisa rêve de devenir comédienne. Pour payer ses études d'art dramatique, elle travaille dans un bar de Manhattan. Un soir, elle fait la connaissance d'Arthur Costello, un jeune médecin urgentiste. Leur complicité est immédiate. Pour le séduire, Lisa est prête à tout. Dans une ville-labyrinthe qui n'offre aucun répit, elle prend tous les risques. Mais Arthur n'est pas un homme comme les autres. Bientôt, il révèle à Lisa la terrible vérité qui lui interdit de l'aimer :

" Ce qui m'arrive est inimaginable, et pourtant bien réel... "

Dans un New York plus imprévisible que jamais, Arthur et Lisa vont lier leur destin pour déjouer les pièges que leur impose le plus impitoyable des ennemis : le temps.

Un thriller psychologique vertigineux au final stupéfiant

MON AVIS : Les amis, alors là, j'ai lu ce livre en deux jours je crois. Comme à chaque fois, je suis vraiment transportée. J'ai lu ce livre en mai, le seul résumé m'a remis dans l'ambiance du livre assez facilement. C'était extraordinaire une nouvelle fois. J'adore réellement lire Musso et Lévy car ils ont une imagination incroyable qui te fait rentrer dans les histoires les plus folles. Par contre, les gars s'il vous plait, vous voudriez pas arrêter de me casser mes délires à chaque fin de livre ? En gros, ils t'inventent des histoires rocambolesques, t'arrives même plus à dormir tellement t'en peux plus et que tu veux savoir la suite. Et là, paf, ils t'expliquent que c'est de la grosse connerie tout ce qui a été dit avant, et ils reviennent à la réalité en deux temps, trois mouvements parce que ok, c'est un bouquin, mais justement c'est un qu'un bouquin. Enfin, je vous dis les mecs ils ont les couilles en or tellement ça marche. Je me suis fait achetée "Elle et lui" de Levy et "Central Park" de Musso. Mais pour le moment, t'as bien compris que je lisais du Patrick Sébastien. 

L'INSTANT PRESENT : ♥♥♥♥

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Cinquante nuances de Grey, les livres

Vendredi 31 juillet 2015 à 16:12

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 Résumé (source Wikipedia): 
Anastasia Steele accepte de remplacer sa colocataire malade, Katherine, pour interviewer l'homme d'affaires et milliardaire Christian Grey. Jeune PDG séduisant et mystérieux, ce dernier l'intimide. À sa grande surprise, Christian Grey vient la voir au magasin où elle travaille, prétextant des achats. Très attirée par lui, elle se verra rapidement devenir sa soumise. Pour cela un contrat va être rédigé pour permettre de définir les règles de ce jeu dangereux. Cependant, ce contrat devient souvent un sujet tabou et sera changé sans cesse. À mesure que leur relation progresse, la jeune et innocente Ana est confrontée à un tout nouvel univers aux côtés du riche entrepreneur. Christian a cependant une face sombre : il est adepte du BDSM. La jeune femme doit alors décider si elle est prête ou non à entrer dans cet univers.
 
L'AVIS DE CLOW : Je vais faire une critique globale de la trilogie. Cela fait déjà un certain temps que j'ai lu les bouquins mais avec toute la hype qu'il y a eu à ce sujet, difficile d'oublier de quoi ils parlent. Honnêtement, ça se laisse lire, même si au final je suis un peu restée sur ma faim. Je savais que ce n'était pas de la grande littérature, mais ce n'est pas non plus aussi osé, choquant, "porno" que ce à quoi je m'attendais. Bien sûr, cela reste très subjectif parce que je suis peut-être moins facilement choquée que peuvent l'être d'autres personnes. Un aspect que j'ai trouvé un peu ironique, c'est la différence entre la supposée cible de ces livres et les héros de l'histoire. On nous a vendu "Cinquantes Nuances de Grey" sous la dénomination "mummy porn" (porno pour Maman donc) mais cela met en scène une jeune femme d'une vingtaine d'années, encore vierge et étudiante au début du récit, et d'un businessman de 27 ans il me semble. En gros, je trouve qu'il est plus facile de s'identifier aux personnages quand on est une jeune adulte que quand on est un peu plus âgée, avec des enfants. Bien sûr pour apprécier un livre l'identification n'est pas absolument nécessaire mais je trouve ça drôle. Peut-être que cette histoire fait "rêver" ou du moins fantasmer celles qui ont le quotidien un peu "banal" d'une mère de famille ? Et encore je pense que les mères de famille sont loin d'avoir toutes un quotidien monotone. Par contre, il est vrai que cette oeuvre semble plus s'adresser aux femmes qu'aux hommes, étant donné que le récit est raconté du point de vue d'Ana Steele et que cette dernière a tendance à un peu idéaliser Christian Grey et ce qui l'entoure (son appartement, sa famille, tout ce qu'il possède etc.).
Pour résumer, je dirais que cette trilogie est en fait une comédie romantique comme une autre car l'intrigue s'articule autour d'une histoire d'amour avec ses hauts, ses bas, des rebondissements, des prises de consciences, et en définitive ça finit bien, la seule originalité étant le côté "maniaque du contrôle SM" du héros. Je ne me rappelle plus en détail dans quel tome se passe tel ou tel évènement mais dans mon souvenir, le premier livre est le meilleur puisqu'il y est question de leur rencontre, de la découverte par Ana de l'amour, du sexe et des goûts particulier de Christian, et dans les deux autres tomes il y a des passages parfois peu intéressants.

50 NUANCES DE GREY : ♥♥

Petite information supplémentaire, le tome 4 vient de sortir ! 

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Homo vampiris

Dimanche 2 août 2015 à 12:31

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Homo Vampiris
Auteur : Fabien Clavel
Date de sortie en France : 13 novembre 2009
Editeur : Mnémos
 
 
Résumé :
C'est à une intrigue tentaculaire que nous convie Fabien Clavel, dans ce thriller vampirique mené tambour battant où il dépeint un avenir sombre, bien plus terrifiant finalement que les êtres nocturnes qui le hantent. 21e siècle. 8 mai. Roumanie. 2h environ. Un patient s'échappe de l'Usine, une clinique d'un genre un peu particulier. Londres. 13h02. Une jeune étudiante quitte en courant une conférence de l'ONU. Sa soif de connaissance a capitulé devant une faim plus insatiable encore. Dubaï. 21h48. Dans une luxueuse suite de l'Al-Mahara, autrefois l'hôtel le plus cher du monde, seule une panthère noire ressortira vivante de la violente dispute qui oppose deux hommes.
 
 
L'AVIS DE CLOW : J'ai trouvé qu'il y avait du bon et du moins bon dans ce roman. Le fait qu'il parle de vampires m'a plu, mais j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire. L'action met du temps à se mettre en place car chaque nouveau chapitre présente un des sept personnages principaux mais il faut attendre un certain temps avant qu'on puisse faire le lien entre eux. Il y a également certains passages un peu dégueu et/ou sexuels qui semblent sortis de nulle part et sont un peu gratuits. Par contre j'ai trouvé original le contexte dans lequel se déroule l'histoire. Dans un futur pas si éloigné que ça, la population mondiale est en danger à cause de la multiplication des catastrophes naturelles et des épidémies mortelles, et certains scientifiques pensent que la solution consiste à créer une nouvelle espèce, nommée Homo Vampiris, autrement dit des humains qui bénéficieraient de certaines capacités des vampires, comme par exemple ne pas succomber aux maladies. Mais le très faible pourcentage de chances pour qu'un vampire transforme avec succès un humain ne facilite pas leur recherche. Je n'en dirai pas plus pour ne pas dévoiler la totalité de l'intrigue mais l'idée est bien trouvée. Dommage que le récit en lui-même soit un peu poussif.

HOMO VAMPIRIS : ♥♥

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Etiquettes et espionnage

Dimanche 2 août 2015 à 12:39

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 Etiquette et Espionnage
Auteur : Gail Carriger
Date de sortie en France : 12 mars 2014
Editeur : Orbit
 
 
Résumé :
C'est une chose que d'aprendre à faire une révérence comme il faut. C'en est une autre que d'apprendre à la fire en lançant un couteau.
Angleterre, début du XIXe siècle. Sophronia, 14 ans, est un défi permanent pour sa pauvre mère : elle préfère démonter les horloges et grimper aux arbres qu’apprendre les bonnes manières ! Mme Temminnick désespère que sa fille devienne jamais une parfaite lady, aussi inscrit-elle Sophronia au Pensionnat de Mlle Géraldine pour le perfectionnement des jeunes dames de qualité.
Mais Sophronia comprend très vite que cette école n’est peut-être pas exactement ce que sa mère avait en tête. Certes, les jeunes filles y apprennent l’art de la danse, celui de se vêtir et l’étiquette ; mais elles apprennent aussi à donner la mort, l’art de la diversion, et l’espionnage – le tout de la manière la plus civilisée possible, bien sûr.
Cette première année au pensionnat s’annonce tout simplement passionnante.
 
 
L'AVIS DE CLOW : Ce livre se trouvait au rayon science-fiction/adultes de ma bibliothèque, et après avoir lu plein de bouquins parlant de vampires, j'avais envie de me changer un peu les idées. Sauf que dans "Etiquette et Espionnage", il y a un vampire ! Il y a même un loup-garou. Bref, une fois passée la surprise de se retrouver en réalité avec un roman pour adolescents (car oui, une histoire qui met majoritairement en scène des gamines de 13 ans dans un pensionnat s'adresse pour moi à un lectorat plutôt jeune), on passe un bon moment, à condition bien sûr d'avoir suffisamment gardé l'esprit jeune pour apprécier lire des oeuvres moins "matures". Attention, je ne dis pas pour autant qu'il s'agit d'une oeuvre pour gamins, c'est très bien écrit et intéressant. L'idée de base est plutôt sympa et un autre aspect qui m'a plu est le fait que l'action se déroule dans une atmosphère steampunk (le fait que le pensionnat soit un dirigeable géant, que certaines scènes se passent dans la salle des machines etc.). Dès le début je savais que ce livre constituait le premier tome d'une série, intitulée "Le Pensionnat de Mlle Géraldine" et que lire la suite pourrait s'avérer compliqué. J'ai quand même décidé de tenter le coup et c'était une lecture sympa, sans prise de tête. Je ne sais pas si j'aurais l'occassion de lire la suite (le tome 2 s'appelle "Corsets et Complots", et le tome 3 qui vient juste de sortir, "Jupons et Poisons") et c'est dommage car cela m'aurait bien tentée. Autre petit détail qui m'a fait sourire : la mini biographie de l'auteur sur la quatrième de couverture, qui nous fait croire que Gail Carriger vit encore à l'époque qu'elle décrit dans ses livres.

ETIQUETTE ET ESPIONNAGE :  ♥♥♥

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Embrouilles à Manhattan

Dimanche 2 août 2015 à 13:44

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 Embrouilles à Manhattan
Auteur : Meg Cabot
Paru en France le 15 mars 2006
Editeur : Marabout
 
 
Résumé (source : fnac)
Kate, 25 ans, fraîchement débarquée à New-York après avoir quitté son Kentucky natal, traverse une mauvaise passe. Elle a plaqué son petit ami, vit chez une copine et son mari, cherche désespérément un logement abordable et bosse à la DRH d'un gros journal sous les ordres d'une trentenaire arrogante, stupide, ambitieuse et jalouse : Amy. Cette dernière lui ordonne de licencier une employée de la cantine, Ida, car celle-ci ne sert en desserts que les personnes qu'elle apprécie. Malgré des avertissements répétés, elle a notamment refusé de servir Stuart, le fiancé d'Amy. Kate pourra-t-elle protéger Ida ? Saura-t-elle résister au charme de Mitch, frère de Stuart et avocat chargé du dossier ? La justice triomphera-t-elle, lorsque Kate sera licenciée à son tour lorsqu'elle refuse d'entériner les mensonges d'Amy ?
 
 
L'AVIS DE CLOW : Voilà un livre qui a défaut d'être original dans le fond l'est au moins par la forme. Au niveau de l'histoire, nous avons droit à une énième comédie romantique qui se passe à New York, comme j'ai pu en lire des dizaines. Très rapidement, dès que tous les personnages ont été présentés, on sait déjà comment ça va finir. Mais parlons donc de la forme. Au lieu d'un récit, Meg Cabot nous raconte une histoire à travers les différents échanges qui ont lieu entre les protagonistes, mais toujours de facçon indirecte. De ce fait, les personnages ne se parlent jamais face à face, mais soit par mail, soit via messagerie instantanée, soit laissent des messages sur les répondeurs des uns et des autres etc. On a aussi droit de temps en temps à des recettes de cuisine, des menus de restaurants, des cartes de visites, des petites annonces... Et le tout fonctionne, les différents éléments s'intègrent bien à l'histoire sans qu'on se dise "Cette recette tombe comme un cheveu sur la soupe". La première fois que je suis tombée sur ce bouquin à la bibliothèque, j'ai préféré ne pas le prendre car en feuilletant quelques pages je me suis rendue compte que le livre n'était qu'un enchainement, a priori un peu brouillon, des différentes choses que je viens d'énumérer. Et puis en cette période estivale, où l'on peut garder les livres près de deux mois et demie au lieu de trois semaines, mes yeux se posent de nouveau sur cet ouvrage et je me dis pourquoi pas ? Après tout, j'ai eu l'occasion pendant mes années lycée de lire une bonne partie de la bibliographie de Meg Cabot en termes de romans pour ados (notamment la saga "Journal d'une princesse" pour ne citer qu'elle) et j'ai toujours bien aimé ce qu'elle a pu écrire. Je me suis donc décidée à l'emprunter et je ne le regrette pas. Certains passages sont clairement hilarants et puis comme l'action se déroule à New York, ça allait forcément me plaire.
En conclusion je pense que je me rappellerais longtemps de ce livre en raison de sa particularité stylistique on va dire. J'ignore si d'autres auteurs se sont amusés à ce genre d'exercice (j'imagine que oui) mais comme il s'agissait d'une première pour moi, j'ai apprécié l'effet de nouveauté.

EMBROUILLES A MANHATTAN : ♥♥♥

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Un avion sans elle

Jeudi 27 août 2015 à 9:54

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Auteur : Michel Bussi
Date de sortie : 7 mars 2013 (chez Pocket)
Editeur : Pocket
 
Résumé : 23 décembre 1980. Un crash d'avion dans le Jura. Une petite libellule de 3 mois tombe du ciel, orpheline. Deux familles que tout oppose se la disputent. La justice tranche : elle sera Émilie Vitral. Aujourd'hui, elle a 18 ans, la vie devant elle mais des questions plein la tête. Qui est-elle vraiment ? Dix-huit ans que Crédule Grand-Duc, détective privé, se pose la même question. Alors qu'il s'apprête à abandonner, la vérité surgit devant ses yeux, qu'il referme aussitôt, assassiné. Il ne reste plus qu'un vieux carnet de notes, des souvenirs, et Marc, son frère, pour découvrir la vérité...
 
L'AVIS DE CLOW : J'ai vraiment adoré ce livre. Dès les premières pages, on est pris par l'intrigue, avec une seule envie : continuer à lire pour savoir où l'auteur va nous mener, connaître le fin mot de l'histoire. Ce qui est intéressant, c'est que même si on se doute bien avant le dénouement que l'issue ne sera pas celle à laquelle on s'attend, on n'a un peu de mal à imaginer comment la vérité va être mise au grand jour et surtout expliquée, justifiée. Certains personnages sont haut en couleur et rajoute du relief à une enquête déjà haletante et pleine de rebondissements. Je ne peux pas dire grand chose d'autre sans en révéler trop, je me contenterai donc de recommander cette lecture.

UN AVION SANS ELLE : ♥♥♥♥

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