Jeudi 2 février 2012 à 20:10

 Quatrième de couverture : Une bande de copains

Des monstres attachants

Des pouvoirs surnaturels

Un lycée comme scène du crime

Des tenues fashions et gothiques

Un univers graphique fort


Et de l'humour... beaucoup d'humour!!!

L'AVIS DE CLOW :  C'est bien évidemment un roman pour adolescentes, mais comme je suis restée très jeune dans ma tête, j'ai décidé de le lire lorsque je suis tombée dessus par hasard à la bibliothèque. Ça faisait longtemps que je n'avais pas lu de chick lit, je me suis donc dit "pourquoi pas". Monster High raconte l'histoire de deux filles : Mélodie, une "normie" (c'est-à-dire une humaine) à peu près comme tout le monde, si on oublie le fait que son père, chirurgien esthétique, lui a refait le visage alors qu'elle n'est qu'une ado; et Frankie Stein, qui comme son nom le laisse supposer est un monstre, ou plutôt une RAD (Résistante à l'Apparence Dominante). Leurs histoires vont finir par se croiser puisqu'elles arrivent toutes deux au lycée de Merston High (remarquez l'anagramme). Elles vont donc évoluer dans le même environnement, rencontrer les mêmes camarades... Cependant ce n'est que vers la moitié du livre que le titre prend tout son sens. Mélodie et Frankie sont les héroïnes car l'histoire est racontée de leur point de vue mais  de il y a de nombreux autres personnages. J'ai trouvé ce bouquin très sympa, il y a beaucoup de références à la culture actuelle : par exemple Frankie est fan de Lady Gaga, et dès qu'un personnage entre en scène, sa tenue vestimentaire est décrite dans le moindre détail, nom de marque compris. C'en est même parfois excessif. Par certains moment, ce livre m'a fait penser à une série pour enfants, appelée "Drôles de petits monstres", et qui passait sur France 5 quand  j'étais au collège. Ça racontait le quotidien d'une école dont tous les élèves étaient des monstres, et j'ai trouvé que Monster High pouvait en quelque sorte en être une version lycée. Si j'ai un jour l'occasion de lire la suite, je ne m'en priverai pas. C'est un livre idéal pour se changer les idées, passer un bon moment, qui se lit facilement et rapidement. Je terminerai sur une remarque : j'ai été très surprise en allant au supermarché et que j'ai vu qu'il existait des poupées Monster High, et apparemment il y a aussi un dessin
animé... Donc c'est vraiment un truc de gamines en fait ^^

MONSTER HIGH : ♥♥♥

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Jeudi 2 février 2012 à 20:21



L'AVIS DE CLOW : Je lance les dés, mes cheveux flottent au vent... Je vais tuer mon copain.
 
Voilà un extrait des paroles du dernier single de Natalia Kills, qui selon moi résume bien le personnage. Je profite de la sortie du clip pour vous parler de celle que j'ai découvert et adoré en 2011.
 
Souvent décrite comme la Lady Gaga brune, son univers est pourtant bien différent (même si je dois reconnaitre que c'est la raison qui m'a poussée à m'intéresser à elle). C'est une pop sombre et désillusionnée, teintée d'électro ou de rap selon les morceaux. Visuellement parlant, l'oeuvre de Natalia peut évoquer celle de Gaga pour le côté provoc', exagération, surenchère d'images sans lien entre elles... Mais Natalia est selon moi bien plus gore et choquante. Ces chansons, comme celles de beaucoup de chanteuses pop, parlent d'amour, de sexe, de mort et d'argent, mais rarement de façon joyeuse. Si vous avez tendance à déprimer pour un rien vous allez adorer Natalia Kills !
 
Rapide retour sur sa carrière en tant que Natalia Kills (car elle était auparavant rappeuse sous le pseudo Verbalicious) :
 
Ses clips ont tous été réalisés dans le but de choquer, c'est du moins mon avis au vu des vidéos qui illustrent ses singles. "Zombie" nous plonge dans une ambiance un peu glauque sur fond de manipulation mentale et de violence psychologique, tout ça pour nous parler d'amour... "Mirrors", dont les paroles n'ont rien à envier à celles du "S&M"  de Rihanna, est plus commercial mais assez esthétique, tout en restant dans les tons noirs que semble affectionner Miss Kills. Vient ensuite le stressant "Wonderland" dont la censure volontaire permet de créer une atmosphère particulière, qui m'a personnellement fait me sentir mal à l'aise. "Free", le quatrième single, a été réenregistré pour devenir un duo avec will.i.am (comme j'en ai déjà parlé dans l'article "les duos opportunistes"). Il est donc présent dans ce clip qui critique la société de consommation en brûlant des billets de banque, mais en en profitant pour montrer quelques bizarreries. Enfin, on en vient à "Kill My Boyfriend" ou comment Natalia nous prouve sa folie en ayant aucun scrupule à noyer son copain sur un air joyeux, avec comme décor la ville de Paris.
 
J'ajoute que dans chaque vidéo on a droit à des tenues assez originales, à de nombreux accessoires et éléments de décors, à des effets spéciaux... Bref Natalia ne fait pas les choses à moitié et veut entrer dans la cour des grandes.
 
Sauf que... le succès n'est pas vraiment au rendez-vous ! Natalia est loin d'être connue et reconnue malgré sa collaboration avec des artistes qui ont fait leurs preuves  (will.i.am, Akon, LMFAO, Far East Movement...) et sa signature chez Interscope. Je trouve cela dommage car je pense que Natalia a toutes les clés en main pour réussir. Le seul point négatif que je retiendrais, c'est le côté artificiel du personnage. On note un certain manque de naturel qui lui est peut-être préjudiciable, mais qui assurément alimente la comparaison avec Lady Gaga. Difficile d'être originale et de plaire dans le monde impitoyable de la pop.

Jeudi 2 février 2012 à 20:58



MON AVIS : On commence la vidéo avec émerveillement. Enfin, la parodie est arrivée ! Puis on entends Lady Gaga ... Et on se dit "encore ?" car oui, dorénavant, Hillywood Show nous gave de Lady Gaga à chacune des vidéos. Donc, ça tombe bien, j'aime bien, mais bon, c'est pas vraiment original, même si clairement, c'est bien choisi et le "I'm gonna marry Edward" m'a fait beaucoup rire. Viens ensuite le mariage avec "Give me everything tonight", et là je découvre que le Edward a changé. Et je suis tout simplement déçue, car je trouvais que l'ancien était beaucoup plus beau et plus ressemblant. Bref, passons c'était bien trouvé, surtout que clairement c'était parfait avec le fait qu'il y ait toujours un duo Edward / Jacob et donc le duo Pitbull / Ne-yo. La voix de Pitbull sied bien au Jacob choisi, qui est toujours aussi sexy. La suite où la petite Bella s'éclate toute seule, c'est tout simplement marrant et ça change de rasage de jambe qu'on nous a foutu dans le film. Pour le bain de minuit à trois, j'ai explosé de rire ! C'était excellent franchement ! Le père qui est trop heureux que Bella épouse Jacob, c'est trop ça. Et tout le passage où Jacob est à la place d'Edward (notamment quand il a ses lunettes, où il ressemble un peu à Marc Anthony d'ailleurs !) c'est tout simplement excellent !! J'ai adoré, et il est vraiment sexy, c'est abusé ! (Et clairement, le claquement sur les fesses quand elle est couchée de son côté c'est plus crédible que le truc du film qu'on a voulu nous faire avaler...) Bon, pour le passage "You having my baby" je suis totalement ... partagée. La chanson est sublime même si je suis allergique à la voix du mec et que j'préfère la voix toute douce de Cory Monteith (Glee), et ça pourrait totalement convenir à la situation si... en vrai, ils n'auraient pas voulu essayer de tuer le bébé qu'ils appellent d'ailleurs "chose". En tout cas, ça casse complétement le rythme de la parodie. Et ensuite, on finit sur Jacob et son imprégnation, et ça se coupe un peu trop rapidement à mon goût mais le film c'est un peu idem. Je suis un peu déçue qu'ils n'aient pas fait un passage avec les Volturi, pour en quelque sorte amorcer la suite. Bon, par contre, j'aime énormément le fait que ça se passe dans les lieux même du véritable film, puis avec les véritables costumes. Bref, on pourrait penser que j'ai fait que critiquer, mais en attendant... j'aime énormément et je suis trop heureuse de pouvoir voir ces magnifiques parodies. Lorsque la dernière parodie sortira je pourrais enfin dire quelle parodie j'ai préféré. 

BREAKING DAWN PARODY : ♥♥♥

Vendredi 3 février 2012 à 20:37

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 Date de sortie 4 avril 2001 (1h 49min)
 
Réalisé par Donald Petrie
Avec Sandra Bullock, Michael Caine, Benjamin Bratt 
 
Genre Comédie, Action
Nationalité Américain
 
Titre original Miss Congeniality
Distributeur Warner Bros. France
Année de production 2000

 
Synopsis : L'agent Gracie Hart travaille dans un commando d'élite du FBI. Véritable garçon manqué, elle ne possède pas une seule robe, ne sait pas se maquiller, ne tient pas plus de cinq secondes sur des talons aiguilles, aime se bagarrer et boire un verre avec ses "potes".
 
Mignonne comme elle est, elle pourrait participer à des concours de beauté, si seulement elle avait une once de féminité. Et c'est justement ce que le Bureau recherche en ce moment : un agent pour inflitrer le concours de Miss USA. Un terroriste, dénommé "Le Citoyen", menace en effet de faire exploser une bombe le jour du palmarès, et le FBI se doit de le neutraliser au plus tôt.
 
La seule personne pouvant accomplir une telle mission n'est autre que Gracie. De toute urgence, Victor Melling, relooker, est engagé par la police fédérale pour transformer la belle en Miss New Jersey. Un défi à toute épreuve, puisque Gracie refuse de se comporter comme un mannequin, de surveiller son alimentation et sa tenue vestimentaire.

MON AVIS : Voilà, c'est exactement le genre de film que j'veux voir le soir quand j'suis épuisée après ma journée de boulot. On a là une histoire très simple, avec pas mal d'humour. Et puis voilà, on fout une petite histoire d'amour au milieu (très peu exploitée à mon goût). Je sais vraiment pas quoi raconter sur le film tellement il est d'une simplicité extrême. Mais effectivement, Sandra passe de plutôt moche à sublime en quelques couches de maquillage ! Je sais qu'il y a la suite, j'ai commencé à la regarder mais malheureusement le sommeil a eu raison de moi. 

MISS DETECTIVE : ♥♥

Vendredi 3 février 2012 à 21:32

http://nessiecullen.cowblog.fr/images/C/100912115618721258.jpg
 Date de sortie 28 mars 2007 (1h 34min)
 
Réalisé par Gabor Csupo
Avec Josh Hutcherson, AnnaSophia Robb, Zooey Deschanel 
 
Genre Fantastique, Aventure
Nationalité Américain
 
Titre original Bridge to Terabithia
Récompenses 1 nomination
Distributeur SND

 
Synopsis : Jess, un garçon issu d'une modeste famille nombreuse et Leslie, fille unique d'un couple d'écrivains, s'inventent un monde imaginaire, Térabithia, pour fuir la réalité de leur vie quotidienne... Mais lorsque cet univers magique prend vie, ils se retrouvent confrontés à des aventures plus périlleuses que ce qu'ils avaient pu imaginer.

MON AVIS : Effectivement, un ersatz du monde de Narnia. Moi j'aime bien la petite blonde là, elle est mignonne comme tout. Et j'aime la jolie Joey. En tout cas, niveau histoire c'est un peu vide. Disons qu'ils auraient pu faire un bon truc, mais rien n'est bien utilisé. Je veux dire il y a toute l'histoire avec le méchant, mais il disparait plus ou moins comme par magie. Enfin, ils ont fait un peu ce qu'ils voulaient. Donc rien n'est abouti, et ça se termine un peu sur de la merde quoi... Bref aucun intérêt final ! 

LE SECRET DE TERABITHIA : ♥

Dimanche 5 février 2012 à 11:42

Voilà, hier soir, c'était le premier Prime d'On ne demande qu'à en rire. Et c'était plutôt pas mal, j'ai passé une très agréable soirée, et j'ai beaucoup rigolé. Franchement, c'est assez étonnant venant de moi qui ne comprends pas ce genre d'humour, mais mes deux préférés de la soirée sont Constance & Jérémy Ferrari. Mais je suis déçue qu'il n'y ait pas eu Arnaud. Retour sur les sketchs de la soirée. 

 
Ouais, quand le sketch a commencé, j'ai surtout trouvé que c'était le sketch de Jérémy et que Constance lui donnait la réplique, mais au final, le sketch était excellent. J'aime le début où elle commence très fort niveau vulgarité, et elle se met à faire un truc très poétique, puis retombe directement dans le vulgaire. Tout le monde est explosé de rire, et nous aussi ! Et pour la chanson Disney remixée, je suis partagée entre le rire et le mal-être, parce qu'ils sont un peu en train de massacrer une magnifique chanson d'amour made by Disney. Mais bon, les paroles sont souvent bien trouvées, même si la chaude-pisse a choqué le jury visiblement, j'ai envie de dire que de toute façon, c'est une réalité aussi du métier... Donc, ça ne me choque pas plus que ça, j'ai trouvé ça excellent. 
 
Note : 20/20
 
 
C'est du Jérémy Ferrari, c'est forcément excellent ! Et ouais, il y avait du coeur, c'était pas réellement méchant comme j'ai pu le penser certaines fois. Je note l'effort technique pour la choré en fauteuil, je trouve qu'il a vraiment bien réussi, alors que je pense que c'est pas simple (j'ai pas la moindre idée de comment on fait tourner un fauteuil). Enfin, c'était tellement bon, et parfois touchant dans un sens. 
 
Note : 19/20
 
 
Je commence tout juste à la connaître, mais elle a du potentiel. Bon, elle m'énerve souvent à trop crier, et à être un peu en mode racaille et renfrognée mais franchement, le rap était excellent. J'étais agréablement surprise par les blagues, parce que bon, c'est quand même un peu la réalité, et ouais, ça me fait penser à ma grand-mère qui commence à avoir des problèmes de mémoire ... 
 
Note : 17/20
 
 
Je les trouve géniaux, là c'était peut-être pas leur meilleur sketch, mais ils ont trouvé un angle très original, certains jeux de mot étaient complétement cons, mais bon, au moins je les ai compris !
 
Note : 17/20
 
 
Le final est tout simplement parfait, fallait oser ! Le début aussi était franchement génial. J'ai beaucoup ri en le voyant faire, les jeux de mot sont sympa comme tout. 
 
Note : 17/20
 
 
Franchement, je trouve qu'ils ont choisi un très bon angle, c'était drôle, et réaliste dans un sens. 
 
Note : 16/20
 
 
Franchement, je crois qu'il n'y a que moi que ça faisait rire. Bon, il y avait des choses qui me faisait pas rire, et le sketch était peut-être mal ficellé et certaines choses ne faisaient pas vraiment rire, je vous l'accorde. Parfois, il sortait des trucs qui m'ont ennuyé. Mais sérieusement, j'ai trouvé bien trouvé de faire le lien entre les pirates informatiques (et donc se servir du vocabulaire de l'informatique et aussi ajouter la dame d'Avast, c'était drôle !) mais toute la partie sur le moteur de recherche, c'était ... pourri ! Bon, par contre ... le fait de reprendre Cyrano de Bergerac, c'était vraiment pas mal, il aurait pu vraiment continuer dans cette direction au lieu de rajouter des trucs tout nazes à l'intérieur. 
 
Note : 16/20
 
 
Les lascars gays c'est pas ceux qui me font le plus rire, mais franchement, c'était bien trouvé. Ils ont dû s'éclater à faire ça et c'est le plus important.
 
Note : 16/20
 
 
Elle me fait plutôt pas rire, elle me fait sourire parfois, mais elle est assez énervante je trouve. Mais je note l'apparition de Whoopy Goldberg et c'était vraiment bien fait.
 
Note : 14/20
 
 
Je suis désolée pour lui, mais il me fait vraiment pas rire. Sourire tout au plus. Il me fait de la peine, c'est tout. La table chez Ikéa m'a fait rire ^^ En tout cas, je trouve assez pénible de regarder ses sketchs. J'ai l'impression de voir un enfant de 5 ans qui essaye de me raconter quelque chose, et ça m'exaspère. Désolée à lui.
 
Note : 13/20

Vendredi 10 février 2012 à 19:13

http://nessiecullen.cowblog.fr/images/C/TrustlefilmDavidSchwimmer.jpg
Film américain réalisé par David Schwimmer.
Sortie en France le 18 janvier 2012.
Drame de 106 minutes.
 
 
Synopsis : Chez eux, en banlieue, Will et Lynn Cameron se sentent en sécurité. Dans leur maison, la nuit, ils dorment avec le sentiment que leurs trois beaux enfants sont parfaitement protégés. Lorsque Annie, leur fille de 14 ans, se fait un nouvel ami sur Internet – Charlie, un garçon de 16 ans rencontré sur un forum – Will et Lynn ne s’inquiètent pas. Ils se disent qu’il est normal que des adolescents échangent grâce aux nouvelles technologies. 

 
Après plusieurs semaines de conversations en ligne, Annie se sent de plus en plus attirée par Charlie. Même si peu à peu, elle réalise qu’il n’est pas ce qu’il prétend être, elle continue à être fascinée par lui. Le masque finira par tomber et cela va déclencher un engrenage que personne n’aurait pu imaginer, mais qui changera définitivement la vie de toute la famille… 
 
 
L'AVIS D'OPETH : Ce film est la chronique d'un phénomène propre au XXIème siècle et ce que les technologies de communication offrent de pire. David Schwimmer – aussi drôle en Ross Geller dans Friends que dramatique en réalisateur dans ce film – décide d'aborder le thème de la pédophilie via internet presque à la manière d'un documentaire, chiffres en tout genre sur le sujet à l'appui.  Tout ce qui concerne l'approche entre Annie et son agresseur jusqu'au viol de l'adolescente ne dure qu'un tiers du film environ, et c'est la destruction mentale de la victime, et de sa famille en effet boule de neige, qui est le plus abondamment traité. Le découpage temporel en devint plus pertinent au sens où cela renforce l'effet qu'il faut finalement peu de temps au pédophile pour devenir intime avec Annie, puis pour obtenir d'elle un rendez-vous, et qu'en revanche, la reconstruction de sa personne sera l'affaire d'un très long moment voire de toute une vie. A ce sujet, l’incrustation à l'écran des échanges de textos entre les deux protagonistes est une bonne trouvaille qui nargue le spectateur, vu la naïveté de l'ado face à son prédateur, et la facilité avec laquelle celui-ci trouve le chemin de son cœur.
Clive Owen, qui incarne le papa d'Annie, est tout simplement remarquable dans son rôle du père rongé par la colère, lui qui se croyait si proche d'elle et qui en réalité n'a rien vu venir, n'a rien pu faire. Par ailleurs, l'enquête du FBI patauge mettant en lumière la réalité de la multitude des cas et les faibles moyens de la police pour traiter chaque affaire. Lorsque le père décide de mener sa propre vendetta de son côté, la famille vole en trois morceaux : Annie, plus seule que jamais après avoir développé une forme de syndrome de Stockholm envers son agresseur, le père, obnubilé par son désir de vengeance, et la mère, incapable d'aider sa fille et qui ne reconnaît plus son mari. C'est à ce moment que la dimension psychologique du film décolle et donne du relief à bon nombre de scènes touchantes. Liana Liberato, qui joue Annie, signe une partition sans faute, incroyablement  réaliste et mature. Le film restera très cohérent jusqu'au bout, et j'ai notamment aimé le fait que cela se termine à la fois bien pour la famille et mal car le pédophile n'est pas arrêté, comme pour ne pas perdre de vue l'idée principale du film : choquer le spectateur et lui montrer les mauvais côtés d'internet sans pour autant tomber dans la caricature qui aurait été particulièrement malvenue.A ce propos, la dernière scène du film est très bien vue et clôt de belle manière le sujet. En conclusion, un film dramatique sur un sujet d'actualité très bien pensé, mais surtout très bien joué et qui vaut absolument le détour pour tout amateur du genre Drame/Thriller. L'aspect noir est moins important que l'aspect humain et, vu le thème, je n'en donne que mieux raison au réalisateur qui m'a donné envie, avec Trust, de continuer à suivre sa carrière derrière la caméra.

TRUST : ♥♥♥



L'AVIS DE NESSIE : J'ai regardé ce film il y a quelques temps mais je ne savais pas quoi dire parce que le film m'a fait un effet bizarre. Je suis assez neutre. Je n'ai ni détesté, ni aimé. J'arrive à peine à comprendre la réaction de la fille et du père. Pour moi, ce n'était pas un viol. Elle ne s'est pas débattue, à peine étouffé un "non" de peur de l'inconnu. Tout le temps de l'enquête elle dit que c'était un acte d'amour. Donc à la rigueur ils peuvent dire que c'est du détournement de mineur, mais pas un viol... Puis j'ai pas compris comment elle a pu le suivre alors qu'il lui avait menti, et pas qu'une fois. Elle a pas été élevé dans le bon sens, et sans un minimum de jugeotte ? Et oui, c'est tout à fait normal de se retrouver en sous-vêtements devant un inconnu à la première rencontre. Bref, désolée, pour moi c'est l'incompréhension totale, ce qui fait qu'à mes yeux le film ne tient sur rien.

TRUST : ♥

Dimanche 12 février 2012 à 12:22

http://nessiecullen.cowblog.fr/images/C/LaCollineauxCoquelicots.jpg
 Date de sortie 11 janvier 2012 (1h 31min)
Réalisé par Goro Miyazaki
Avec Masami Nagasawa, Junichi Okada, Keiko Takeshita 
 
Genre Animation, Drame
Nationalité Japonais
 
Titre original Kokuriko-zaka kara
Distributeur The Walt Disney Company France
Année de production 2011

 
Synopsis : Umi est une jeune lycéenne qui vit dans une vieille bâtisse perchée au sommet d’une colline surplombant le port de Yokohama. Chaque matin, depuis que son père a disparu en mer, elle hisse face à la baie deux pavillons, comme un message lancé à l’horizon. Au lycée, quelqu’un a même écrit un article sur cet émouvant signal dans le journal du campus. C’est peut-être l’intrépide Shun, le séduisant jeune homme qu’Umi n’a pas manqué de remarquer...
Attirés l’un par l’autre, les deux jeunes gens vont partager de plus en plus d’activités, de la sauvegarde du vieux foyer jusqu’à la rédaction du journal. Pourtant, leur relation va prendre un tour inattendu avec la découverte d’un secret qui entoure leur naissance et semble les lier…
Dans un Japon des années 60, entre tradition et modernité, à l’aube d’une nouvelle ère, Umi et Shun vont se découvrir et partager une émouvante histoire d’amitié, d’amour et d’espoir.

MON AVIS : Le film a commencé et je me suis vraiment demandée où ça voulait nous emmener. J'espérais vraiment qu'il allait se passer quelque chose d'un peu plus intéressant. Et ouais le film a parfois été long, mais il fût assez bien et beau. Et puis, on commentait avec mon meilleur ami, alors c'était différent que moi toute seule dans l'expectative. L'histoire était donc très belle, à plusieurs moments j'ai trouvé ça très triste. Les dessins étaient magnifiques. Bon, malheureusement, moins bien que d'autres comme Le voyage de Chihiro, Le château dans le ciel, Le château ambulant... Mais tout de même on passe un bon moment. 

LA COLLINE AUX COQUELICOTS : ♥♥

Dimanche 19 février 2012 à 9:45

http://nessiecullen.cowblog.fr/images/C/prettywoman1.jpg
 Date de sortie 28 novembre 1990 (1h 59min) 
 
Réalisé par Garry Marshall
Avec Richard Gere, Julia Roberts, Ralph Bellamy 
 
Genre Comédie, Romance
Nationalité Américain
 
Récompenses 2 nominations
Distributeur Warner Bros. France
Année de production 1990

 
Synopsis : Edward Lewis, homme d'affaires performant, rencontre par hasard Vivian Ward, beaute fatale qui arpente chaque nuit les trottoirs d'Hollywood Boulevard. La jeune femme ne fera qu'une bouchee du brillant PDG.
 
MON AVIS  : Je crois que ce film a fait rêver toutes les filles (sauf pour la partie prostituée hein). On rêve toutes d'un homme qui nous prendrait sous son aile et qui nous achèterait tout ce qu'on peut trouver dans les magasins. En tout cas, j'ai déjà vu le film plusieurs fois, et je ne m'en lasse pas. On s'attache aux personnages, on espère de toutes nos forces qu'ils finiront ensemble. Enfin, ils ont vraiment eu une très bonne idée en faisant ce film. C'est un film culte que tout le monde peut regarder.

PRETTY WOMAN : ♥♥♥♥

Dimanche 19 février 2012 à 10:09

http://nessiecullen.cowblog.fr/images/C/Serialnoceurs20110809041328.jpg
 Date de sortie 10 août 2005 (2h 00min) 
 
Réalisé par David Dobkin
Avec Owen Wilson, Vince Vaughn, Christopher Walken 
 
Genre Comédie, Romance
Nationalité Américain
 
Titre original The Wedding Crashers
Distributeur Metropolitan FilmExport

 
Synopsis : John et Jeremy adorent s'inviter aux mariages de parfaits inconnus, profiter de la table, du bar et des jeunes filles qui sont toujours plus romantiques ces jours-là. Leurs méthodes sont infaillibles et leur palmarès impressionnant.
Lorsqu'ils apprennent que la fille de William Cleary, un haut fonctionnaire, va se marier, l'occasion est trop belle. Cette incruste-là sera leur chef-d'oeuvre, l'éclate totale au milieu du gratin à qui ils vont encore raconter n'importe quoi.
Pourtant, cette fois, les choses dérapent...

MON AVIS : Ce film fut un bon divertissement le soir avant d'aller se coucher, pas besoin de réfléchir. Bon par contre, pas non plus ultra drôle, mais on le pardonne grâce à la présence d'Owen Wilson et de Rachel McAdams. Un film moyen, toutefois meilleur que d'autres navets. Je me faisais la remarque que généralement, lorsqu'ils choisissent de mettre le titre en rouge comme une sorte de tampon (à la American Pie), ça connotait généralement avec un film un peu pourri quand même, mais bon, là heureusement on est bien loin d'American Pie, et on est plus basés sur les sentiments.... Et c'est ça qui me rend le film plus sympathique. Parce que même s'il s'agit de deux guignols dans le film, le "romantisme" d'Owen fait pencher la balance du côté positif. 

SERIAL NOCEURS : ♥♥

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