NessieCullen

Becky Bloomwood : confessions d'une accro du shopping, Belfond, 2002

Votre job vous ennuie à mourir ? Vos amours laissent à désirer ? Rien de tel qu’un peu de shopping pour se remonter le moral… C’est en tout cas la devise de Becky Bloomwood, une jolie Londonienne de vingt-cinq ans. Armée de ses cartes de crédit, la vie lui semble tout simplement magique ! Chaussures, accessoires, maquillage ou fringues sublimes… rien ne peut contenir sa fièvre acheteuse, pas même son effrayant découvert. Un comble, pour une journaliste financière qui conseille ses lecteurs en matière de budget ! Jusqu’au jour où, décidée à séduire Luke Brandon, un jeune et brillant businessman, Becky s’efforce de s’amender, un peu aidée, il est vrai, par son banquier, qui vient de bloquer ses comptes… Mais pourra-t-elle résister longtemps au vertige de l’achat et à l’appel vibrant des soldes ?

MON AVIS : J'ai essayé de le lire deux fois, et non vraiment, c'était pas ce que je préférais. Le style en lui-même était très divertissant, maintenant, je l'ai trouvé vraiment rébarbatif avec toutes ces lettres de la banque etc. Je crois que c'est une des rares fois où les seuls souvenirs que j'ai sont ceux du film et encore, c'est parce que je l'ai regardé une deuxième fois. Mais même si j'ai trouvé le livre pas terrible, j'ai vraiment trouvé qu'il se lisait bien. J'aime énormément le style de Sophie Kinsella. Voilà pourquoi j'ai lu les autres !

Becky à Manhattan, Belfond, 2003, aussi publié sous le titre L'accro du shopping à Manhattan

 Becky Bloomwood, la terreur des distributeurs toujours aussi folle de fringues, ne s’est guère assagie question finances. Mais à quoi bon être enfin devenue la journaliste financière la plus populaire d’Angleterre si l’on n’en profite pas un peu ? Heureusement, elle file le parfait amour avec le séduisant Luke, son fiancé. Même s’il travaille du matin au soir pour monter sa nouvelle agence de communication à… New York ! Le rêve pour toute accro du shopping qui se respecte ! Aux anges, Becky s’envole avec lui vers ce paradis de la consommation où elle se grise à l’envi de soldes, de marques et de boutiques. L’ivresse tourne à la gueule de bois quand Luke découvre, un beau matin, dans un tabloïd anglais, un cliché de Becky en pleine frénésie d’achats sur la Cinquième Avenue. Autant dire adieu à leur crédibilité et à tous leurs grands projets. Mais la coïncidence est fâcheuse et Becky est sceptique face au hasard…

MON AVIS : Enfin, j'ai réussi à avoir ce livre ! Toujours dans le même style que le premier, d'ailleurs, pas mal d'éléments de ce livre sont repris dans le film. Notamment, la petite vente aux enchères réalisées à la fin. Je l'ai plus apprécié que le premier même s'il m'a énervé un peu aussi. Cette Becky n'est pas possible, c'est vraiment exaspérant ! Toutefois le film nous fait entrer dans une telle frénésie qu'il est impossible de s'en détacher. On tombe un peu dans l'émotion, on a pitié pour elle, et on est émus par son désappointement (ça se dit en français ?)... Enfin, toujours autant attirée par cette accro du shopping, et j'ai déjà commencé à lire l'accro du shopping a une soeur. 

L'Accro du shopping dit oui, Belfond, 2004

Sa devise ? Je dépense donc je suis. Sa vision du devoir conjugal ? Choisir LA bague indémodable. C’est insensé et pourtant Becky Bloomwood va se marier ! Et inutile de dire que les préparatifs s’annoncent… catastrophiques : très vite, se pose la délicate question du lieu où célébrer l’union. Dans le jardinet ridiculement british de papa, avec tente bariolée et robe de mariée qui vous fait la silhouette « d’une saucisse dans un chausson de pâte feuilletée » ? Ou au mythique hôtel Plaza, sous l’égide de la belle-mère, authentique Cruella au total look fashion ?
Écartelée entre goût du luxe et respect des traditions, Becky la flambeuse va cette fois-ci devoir choisir. Pour le meilleur et pour le rire…

MON AVIS : J'ai enfin lu ce magnifique livre ! Et je l'ai lu d'une traite ! Enfn, assez rapidement comparé à d'autres livres. J'ai aussi aimé ce livre plus que celui que l'accro du shopping. Jusqu'au bout, elle se fout dans une situation horrible, et au final, tout s'arrange. On est surpris du choix, oui, jusqu'à la fin c'est une surprise, au moment où on pense que ça va s'arranger, ça empire. Je le conseille à toutes les femmes qui sont sur le point de se marier. Ce livre m'a aussi rappelé à quel point ma meilleure amie me manque. Enfin, un très beau livre, je suis très pressée d'avoir les deux derniers ! Je vais sûrement harceler ma bibliothécaire, ou alors l'an prochain, je verrais s'ils ont ça en rayon à la BU, ce qui m'étonnerait, mais sait-on jamais !

L'Accro du shopping a une sœur, Belfond, 2006

Après une lune de miel à rallonge, Becky rentre à Londres et retrouve son train-train de citadine avec un goût amer : sa meilleure amie l'a remplacée par une fille se rapprochant plus du cheval que de l'idéal féminin, son jouet préféré - sa Carte Bleue - est bloqué, son mari est débordé. Mais le meilleur reste à venir : ses parents lui apprennent qu'elle a une sœur née des amours prénuptiales de son père ! Un nouvel horizon se dessine pour Becky : vivement la folle aventure familiale faite de séances intensives de shopping et de soirées pyjamas. Car elle n'imagine pas seul un instant que Jess soit tout sauf son double... ,Loin de renoncer malgré leurs différences, Becky va prouver une fois de plus qu'elle a plus d'un tour dans ses sacs !

MON AVIS : On voit donc Becky en lune de miel, on la pense différente. Mais comme d'habitude, elle a acheté des tonnes de trucs ! Enfin, ça donne envie de voyager. Donc ils rentrent à Londres et tout a changé. Plus tard, ses parents lui apprennent qu'elle a une soeur : Le choc ! On voit alors tous les efforts qu'elle fait pour tenter de nouer le lien et sa soeur est une vraie rabat-joie. Et je dois dire que ça m'a ennuyé. Déjà que Becky m'énerve à bouger dans tout les sens mais là c'était le pompon, l'autre voulait rien faire. Bref c'était un peu long et j'ai mis du temps à le finir. Puis la fin a vraiment commencé à m'intéresser, à partir du moment où elle va chercher Jess chez elle. Tout devient plus intéressant, plus réfléchi, plus humain. Donc voilà, l'histoire est bien trouvée, la fin est parfaite mais tout le début était un peu long.
 

L'Accro du shopping attend un bébé, Belfond, 2008

Du cachemire sinon rien ! Becky est enceinte et s'il est une chose qu'une fashionista de son calibre peut se jurer, c'est bien d'éviter les couches recyclées à bébé Brandon. Ce sera de la layette griffée, le top de la tétine, le nec plus ultra du pyjama branché. Sa carte bleue chauffe déjà que l'échographie n'a pas encore révélé le sexe de l'enfant ! Qu'importe. La seule et unique question importante : à combien s'élève le découvert autorisé d'un placenta ? Du shopping de haut vol mais pas seulement : Becky n'en démord pas, il lui faut Venetia Carter. L'accoucheuse des stars et – surprise ! — l'ex-girlfriend de Luke, le mari de Becky et heureux papa. La situation devient vite intenable, tant la dame est vexante, machiavélique. Bref : neuf mois d'enfer, à prix cassés...

MON AVIS : Celui-là je l'ai vraiment beaucoup aimé. Elle ne se focalise plus que sur sa carte de crédit, il y a son boulot, et sa nouvelle accoucheuse. Bon, voilà un livre qui ne tourne pas forcément autour de bébé mais qui en parle. En gros, comment appréhender l'arrivée d'un bébé avec humour. On reconnait bien le caractère de l'accro du shopping, et pourtant elle a beaucoup évolué. Enfin, j'ai beaucoup aimé, je me rappelle surtout du t shirt avec marqué "Je la déteste cette rousse" ou j'sais plus trop quoi. Bref, moi j'adore Sophie Kinsella, j'essaie de lire tout ses bouquins ! Je vous rappelle que j'ai lu énormément de bouquins d'elle !

J'ai donc lu tous les tomes de l'Accro du Shopping, je me suis malgré tout attachée à Becky, elle a beaucoup d'humour, c'est un personnage sympathique. J'aime énormément le style de Sophie Kinsella, même si là elle s'est arrêtée à des aspects très financiers, enfin c'est normal sinon, ça s'appellerait pas l'accro du Shopping !

En fait, j'ai trouvé plusieurs livres d'Anna Gavalda à la bibliothèque municipale et j'ai ramené "Ensemble c'est tout" et "Je l'aimais"...

Quatrième de couverture : À soixante-cinq ans, il est à l'âge des bilans. Elle en a moitié moins et rumine son chagrin. Celui d'avoir été plantée là avec ses deux filles par un mari volage parti pour une "femme moins usée". A priori, Pierre et Chloé n'ont pas grand chose à partager. Il en décide pourtant autrement, emmenant sa belle-fille sur un coup de tête pour quelques jours à la campagne. Au fil d'un long dialogue, ils vont peu à peu se livrer. Tombe alors le masque du "vieux con" autoritaire et hautain attribué un peu hâtivement par Chloé à son beau-père. L'homme renfermé aux jugements définitifs révèle une blessure et une sensibilité à fleur de peau, tandis que la jeune femme pleine de vie reprend le dessus sur l'épouse éplorée.

" On biaise, on s'arrange, on a notre petite lâcheté dans les pattes comme un animal familier. On la caresse, on la dresse, on s'y attache. C'est la vie. II y a les courageux et puis ceux qui s'accommodent. C'est tellement moins fatigant de s'accommoder... " A-t-on le droit de tout quitter, femme et enfants, simplement parce que l'on se rend compte - un peu tard - que l'on s'est peut-être trompé ? Adrien est parti. Chloé et leurs deux filles sont sous le choc. Le père d'Adrien apporte à la jeune femme son réconfort. À sa manière : plutôt que d'accabler son fils, il semble lui porter une certaine admiration. Son geste est égoïste, certes, mais courageux. Lui n'en a pas été capable. Tout au long d'une émouvante confidence, il raconte à sa belle-fille comment, jadis, en voulant lâchement préserver sa vie, il a tout gâché.

MON AVIS : Le livre m'a paru au départ étrange, mystérieux. Parfois ennuyant, je voyais pas forcément l'intérêt qu'elle raconte sa journée dans les moindres détails. Mais il est quand même plutôt intéressant et facile à lire. Et surtout, je voulais savoir ce qu'il se passait! Je savais pas si son mari était mort ou s'il l'avait quitté. Et au final, les dialogues sont magnifiques. D'un côté, la femme qui exprime sa peine d'avoir été trahie, de l'autre le beau-père qui parle de son amour de jeunesse. J'ai vu en voulant faire un article sur le livre qu'il avait été adapté en film. Je voudrais vraiment le voir pour pouvoir comparer, mais en ce moment mon PC refuse de faire charger les films en streaming ! Et il est très fort ce livre, moi qui d'habitude répugne les gars qui osent tromper leur femme, là, j'ai réussi à ressentir de la compassion pour Pierre. Au départ, j'ai cru qu'il était tombé amoureux de Chloé mais en fait non. Au final, l'histoire ne me marque pas plus que ça, mais j'ai bien réussi à le lire. Contrairement à "Ensemble c'est tout" qui m'a ennuyé et que j'ai arrêté !

Quatrième de couverture : Animatrice de talk-show, Kim Lange est au sommet de sa gloire quand elle est écrasée par une météorite. Dans l'au-delà, elle apprend qu'elle a accumulé beaucoup trop de mauvais karma au cours de son existence. Non seulement elle a négligé sa fille et trompé son mari, mais elle a rendu la vie impossible à son entourage. Pour sa punition, Kim se réincarne en fourmi. Et le pire reste à venir : de ses minuscules yeux d'insecte, elle voit une autre femme la remplacer auprès de sa famille. Elle doit au plus vite remonter l'échelle des réincarnations. Mais, de fourmi à bipède, le chemin est long. Kim devra surmonter bien des obstacles... et, au passage, revoir la plupart de ses conceptions sur l'existence ! Tour à tour incisif, léger et émouvant, Maudit Karma est un roman jubilatoire.

MON AVIS (spoilé): Waouh ! Déjà, ce livre m'a vraiment attiré parmis les rayons remplis de livres de ma bibliothèque et en commençant à le lire, je suis directement rentré dans l'histoire. Je vous jure ! Hallucinant, j'ai même pas mis plusieurs pages avant de vraiment y rentrer dedans, les premières lignes ont suffi ! Pourtant, le début est pas vraiment excellent ! Enfin, je comprends pas l'influence qu'il a eu sur moi. Déjà, il avait retenu l'attention de ma mère et de ma soeur qui, elles, l'ont lues en une soirée. J'étais pressée de continuer à lire, et je ne voulais pas que l'histoire s'arrête. C'était vraiment super bien fait ! Dans un monde devenu égoiste c'est vraiment bien mis en place, on peut parfois s'identifier au personnage. Et si demain on mourrait que se passerait-il ? Quels regrets aurions-nous ? Enfin, j'ai beaucoup aimé. Qu'elle meurre, se rende compte qu'elle ne veut pas quitter Lily, sa fille. Elle va vraiment tout faire pour la récupérer et les étapes sont impressionnantes ! Au départ, je ne comprenais pas la présence de notes sur l'histoire de Casanova et je ne les lisais pas mais après j'ai compris ! Enfin, je n'ai pas compris pourquoi Casanova mais enfin ... C'est marrant quand elle se transforme en toutes sortes d'animaux (fourmi, cochon d'inde, chien, vache ...) et aussi c'est intéressant de voir que sa façon de penser va vraiment changer tout au long. Au départ d'égoiste elle va devenir assez ... gentille pour amasser assez de bon karma. Ca doit être horrible de se rendre compte qu'on aime toujours quelqu'un, qu'on est dans la peau d'un animal et que pendant ce temps une femme vous pique votre place ! Mais j'aime toute la fin, à partir où elle se rend compte qu'Alex aime moins Nina qu'elle. Et bizarrement c'est vraiment impressionnant quand ils disent tous "On se connaît"... qu'ils reconnaissent son âme quoi ! Enfin, moi, je dis : A quand le film ?

J'ai mis 3 semaines à lire mon livre, environ. Et je l'ai enfin fini ! Enfin, je lisais très irrégulièrement bien souvent trop fatiguée pour lire ne serait-ce qu'un chapitre. Je vais donc vous parler de Lucky, d'Alice Sebold, qui a également écrit "La nostalgie des anges"... ou plutôt Lovely Bones !

QUATRIEME DE COUVERTURE : Alice Sebold n'a jamais oublié ce jour où elle a cru mourir sous les coups de son violeur. Elle avait dix-huit ans. Contrairement à Susie, son héroïne de La Nostalgie de l'Ange, elle s'en est sortie. Elle a été « chanceuse », lui ont dit les policiers (« lucky » en anglais). Elle raconte ici les cinquante minutes qui ont décidé de sa vie entière. Ce jour d'horreur, elle a vu dans le regard des enquêteurs qu'on la soupçonnait d'avoir été consentante. Pourquoi, s'est-elle demandé, le viol est-il le seul crime dont la victime est supposée coupable? Au choc, a succédé la révolte. C'est pour cela qu'elle a décidé de ne pas se taire. Du viol qu'elle a subi, Alice Sebold ne cache rien : elle décrit la violence, la terreur, puis l'enquête, et le procès. Ce récit d'une puissance étonnante est aussi l'histoire d'une vengeance - et d'une renaissance.

MON AVIS : Sur la couverture, l'inscription attire l'oeil, et le sujet "choc" donne envie de savoir ce qui se passe. En plus, dès que j'ai vu que c'était celle qui avait écrit "Lovely Bones", j'ai tout de suite pris le livre. J'ai un avis très partagé sur ce livre, un livre très intéressant, où on se demande ce qu'on aurait fait à sa place. Maintenant, certains passages trainent en longueur, on se retrouve avec des détails qui me semblent inutiles vu le sujet traité au premier abord. Mais, si j'analyse le livre comme je dois le faire pour une critique, mon avis est différent, ça montre qu'il est difficile de se reconstruire après un viol, et que tout est difficile. Le regard des gens sur vous changent, et avec les garçons, les relations deviennent complexes. J'ai un peu lu ça comme un livre documentaire, bref, une autobiographie. Et donc, il n'y avait plus les émotions, je ne sais même pas si elles ont déjà été présentes. Je vous rappelle que j'ai lu "Dans l'enfer des tournantes" de Samira Bellil, un livre qui m'a vraiment marqué, et bien, même si Lucky est mieux écrit, je vais surement moins m'en rappeler, j'ai aussi moins ressenti de choses, et je marche beaucoup à l'émotion. Je me souviens quand même qu'elle voulait un "gentil garçon", et tout le monde le veut, mais bon, elle encore plus. Enfin, elle a su faire face toute seule pendant des années, elle était si jeune, et pourtant a été très forte. J'ai aimé le passage du procès, assez long et consistant, mais vraiment on était dans le vif du sujet. C'est un passage que je n'avais pas eu pour le livre de Samira Bellil, puisqu'elle n'a jamais été au procès, elle a juste eu le droit de demander un "dédommagement" ou quelque chose dans le genre. En tout cas, j'ai bien peur que moi si je devais décrire quelqu'un, je ne puisse pas du tout le faire avant autant de précision qu'elle. J'ai été bluffée sur ce coup. La fin m'a un peu déçue, ouais, c'est sa vie, enfin je crois mais bon... qu'elle soit si forte pendant aussi longtemps et qu'elle se plonge dans la drogue, pas terrible. Malgré tout vraiment intéressant !

Avant de voir le film, j'ai voulu lire le livre. J'aurais dû d'abord aller voir le film, mais le jour où on s'est décidé à y aller, il passait le soir, donc on a pas pu.

Quatrième de couverture: Nom de famille : Salmon, saumon comme le poisson ; prénom : Susie. Assassinée à l'âge de quatorze ans, le 6 décembre 1973. « Mon prof préféré était celui de sciences naturelles, Mr. Botte, qui aimait faire danser les grenouilles et les écrevisses à disséquer dans leur bocal paraffiné, comme pour leur rendre vie. Ce n'est pas Mr. Botte qui m'a tuée, au fait. Et ne vous imaginez pas que tous ceux que vous allez croiser ici sont suspects. C'est bien ça le problème. On n'est jamais sûr de rien... C'est un voisin qui m'a tuée. »

MON AVIS : J'espère que le film est plus clair que ça parce que moi j'ai été paumée dans ce livre.... Que je lise le livre à chaque fois après minuit ne m'a peut-être pas aidée à bien tout comprendre mais bon. Bon, j'exagère un peu la chose parce que les 3/4 du temps j'ai capté mais entre les moments où elle raconte quand elle était encore en vie, les moments où elle est dans son paradis et les moments où elle est en fantôme à côté de sa famille ... ça m'a un peu troublée. Si on regarde l'ensemble du livre, j'ai beaucoup aimé, c'était très beau tout ça. Je me suis même attachée aux personnages. Malgré tout, si on regarde plus en profondeur, je n'ai pas tant aimé que ça. L'histoire est complétement loufoque. Elle veille juste sur sa famille.... Courte présentation de l'héroine, explication du passage où elle se fait violer et tuer... On était censé voir son père enquêter... au final, y'aura presque pas d'enquête, juste qu'ils trouvent rien sauf un coude et qu'après le père discute avec Mr Harvey et il dit "c'est lui l'assassin!" et puis, hop on retrouve la breloque du bracelet... Après y'a la mère qui part, même pas avec le policier, la soeur qui se marie, le frère, la grand-mère... Et puis, Alice Sebold a eu envie de partir dans un délire où elle possède Ruth qui elle finit dans le paradis... et elle fait l'amour avec Ray. Bon, ok. Et, ils arrêtent jamais Mr Harvey, alors qu'ils savent que c'est lui qui a tué toutes ces filles. Le pire ? Le livre finit de la façon la plus débile qui soit. Mr Harvey tué par une stalactite ! Bon, ok ! Au final, tout le monde est heureux. J'aime bien les happy end, mais là, c'est pas possible. "Je vous souhaite à tous une longue vie de bonheur." Je pensais que l'univers serait plus sombre, et que la fin serait pas aussi ... niaise ! Enfin, je me ferais peut-être bien un autre avis avec le film, on verra. En tout cas, loin d'être mon livre préféré.

MON AVIS : Un livre qui se lit à toute allure, et on ne s'ennuie pas. J'ai choisi ce livre parce que l'illustration a capté mon oeil, en effet si je ne me trompe pas, c'est un dessin de Pénélope Bagieu. J'arrive moi aussi dans un milieu que je ne connais pas, un restaurant. Erin s'en sort vraiment pas mal, et tout est bien qui finit bien. On rencontre une tonne de gens, et j'imagine Daniel en Hugh Grant, la classe britannique, ou alors, l'acteur de "L'accro du shopping", mais il me plait carrément moins. Caton est le meilleur ami gay dont on rêve toutes. Il lui apprend toutes les bases, et ça donne une super serveuse. On reste dans le cliché du patron tyrannique, mais bon, c'est pas grave, c'est ce qui donne du suspens. Enfin, un livre du style de Sophie Kinsella, et j'adore ça !! Passage d'entretien d'embauche plus que réussi pour moi, tout le monde devrait s'en inspirer.

Quatrième de couverture : Adolescents, ils se sont jurés de s'aimer pour toujours mais le destin va les séparer. Elle affrontera la violence des ouragans en Amérique centrale, tandis qu'il fera carrière à Manhattan. Philip avait promis à Susan que s'il lui arrivait quoique ce soit, il serait toujours là pour elle. Il ne pouvait savoir que cette promesse allait bouleverser sa vie.

MON AVIS : Beaucoup de choses dans ce livre à interprêter. Le caractère pourri de Susan m'a beaucoup marqué. Elle a trouvé l'homme de sa vie, et elle se casse, et elle voudrait qu'il reste à l'attendre, et elle repart. En plus, elle fait n'importe quoi. Je me demande tout le long ce qu'il va y avoir dans ce maudit bouquin, je pensais que ça allait juste parler de leur histoire d'amour, mais pas du tout. Et heureusement, parce que ça aurait été long, déjà le début sert vraiment à mettre un peu le décor et c'est long et chiant. Et puis, dès que la gamine arrive à New York, tout va plus vite et tout devient intéressant ! Les thèmes abordés sont graves et je pense que c'est bien pour tout les bénévoles qui partent de faire la "pub" et pourtant je pense que ça ne montre pas VRAIMENT les conditions de vie, enfin, perso, je me rends pas vraiment compte, on me dit que c'est la misère, mais tant que j'ai pas vu, ça me touche pas. Enfin, voilà, la fin est intéressante.... Même si la toute dernière page laisse vraiment place à l'imagination et au choix.
 

J'ai trouvé ce livre en fouillant dans la bibliothèque municipale, j'ai tout de suite été attirée par le côté "fille au pair"

Quatrième de couverture : Partie en Allemagne comme jeune fille au pair, Laura, à dix-sept ans, découvre tout d'abord qu'elle ne connaît pas si bien la langue de ce pays étranger. Puis c'est au tour de la famille qui l'accueille, un couple et deux enfants, de la troubler par leur simple mode de vie, leur comportement, leurs habitudes. Est-elle venue pour s'occuper des enfants, pour effectuer des tâches ménagères, pour parfaire cette langue ou tout simplement pour grandir enfin ? Elle est arrivée dans une famille banale qui paraît moins déchirée que la sienne, moins lourde de secrets et pourtant, peu à peu, Laura va affronter plusieurs mystères : mystère des origines, de la transmission. Elle aimerait tant déceler à travers ces personnages une vérité, un sens qui lui permettraient enfin de combler les vides et les silences de son adolescence interminable. Reconnaît-elle en s'attachant au seul garçon de la famille le petit frère qu'elle a perdu ? A-t-elle raison d'attendre avec autant de fièvre des nouvelles des siens restés en France ? Parce qu'elle retrouve chez le grand-père des enfants un exemplaire de Mein Kampf elle est prête à tirer des conclusions hâtives et ne peut s'empêcher ale lire ces pages frappées d'interdit qui la révulsent tout en la fascinant. La mère des enfants tombe malade. Le père semble se rapprocher de Laura chaque jour. Que recherche-t-il auprès d'elle ? Laura se demande quel est le prix à payer pour devenir une femme, affronter l'avenir, quitter cette maison pour rentrer dans la sienne.


MON AVIS : Quel livre lourd ! Il y a des passages intéressants, dire qu'elle ne se sent pas à sa place, que c'est difficile, qu'elle ne comprends pas la langue (on a le droit à des bouts de phrases allemandes). Et puis elle passe son temps à se plaindre, y'a jamais rien qui va. Elle fout carrément rien, elle comprends pas l'allemand, ne se débrouille pas pour essayer de comprendre, devient une poupée et nous on s'ennuie. Elle bosse pas vraiment, elle passe son temps à aller à la bibliothèque et à accompagner Suzanne au bus. C'est assez long, on attend tout le long du film qu'il se passe quelque chose mais ça n'arrive jamais. Si le livre était un prétexte pour parler de Mein Kampf c'est mauvais, très mauvais. C'est un pot pourri de tout et n'importe quoi. On attends qu'il se passe quelque chose avec Thomas, mais ça n'arrive jamais. On est toujours dans l'attente et quand enfin il se passe quelque chose, c'est nul. Enfin "nul". Je ne veux pas juger l'acte. Mais quitte à faire un roman, autant parler carrément d'un viol, ou d'attouchements. Là, on attends, on se demande ce qui se passe, on ne comprend rien, et au final le gars parlait français... on aurait pu le savoir au début du bouquin, ça nous aurait simplifié la vie. Bref, j'ai lu un livre où il ne se passe rien d'intéressant.

Ca fait un moment que je croise ces BD dans les rayons de la FNAC ou des supermarchés, je m'étais une fois arrêtée pour lire un peu, mais jamais en entier. Aujourd'hui mon cher Flo m'a passé des liens pour pouvoir tout lire, et à mon tour je fais tourner parce que j'adore. Cliquez sur les images pour pouvoir lire les BD.
 

Un geek (terme anglais se prononçant [gik]) est un stéréotype décrivant une personne passionnée, voire obsédée, généralement par l'informatique, la science-fiction et l’heroïc fantasy, les jeux de rôles ou les jeux vidéos, voire tout à la fois.

Pour le reconnaître, c’est simple : il porte des T-shirts aux logos étranges, parle un langage bizarre incompréhensible pour le commun des mortels, se nourrit principalement de ce qu’il peut commander sur internet et préfère passer une soirée à réparer son ordi que de sortir avec ses amis…

 

Quatrième de couverture : « Dépêchez-vous de vivre, dépêchez-vous d'aimer. Nous croyons toujours avoir le temps, mais ce n'est pas vrai. Un jour nous prenons conscience que nous avons franchi le point de non-retour, ce moment où l'on ne peut plus revenir en arrière. Ce moment où l'on se rend compte qu'on a laissé passer sa chance... »

Ethan, Céline, Jessie.
Un homme, une femme, une enfant.
Trois personnages au bord du gouffre.
Qui vont se croiser, se détruire et s'aimer.

Ont-ils déjà franchi le point de non-retour ?
Il leur reste 24 heures pour tout changer.
Mais l'amour peut-il vaincre la mort ?

Un mystère intense
Un amour en danger
Un dénouement stupéfiant

MON AVIS : Les premières lignes m'ont parues ennuyantes à mourir, j'ai bien failli ne pas continuer, et en fait, j'me suis habituée, et j'ai voulu savoir ce qui se passait. Qui était la jeune femme à côté d'Ethan, et répondre à toutes les questions que le livre amène à se poser. C'est vraiment un livre plein de mystère, et je dois dire qu'il réussit à nous interpeller, à nous demander ce qui arrive. Bon, par contre, il devient loufoque à un moment, moi je ne me suis pas méfiée, j'adore ce genre d'histoire. Mais alors, la fin, c'est du n'importe quoi, c'est tiré par les cheveux. Malgré tout, le livre arrive à caser une référence au 11 Septembre, mais je trouve un peu dommage quand l'idée n'est pas assez creusée, on ne ressent pas vraiment ce que les gens ont ressenti. Enfin, j'ai ressenti aucune émotion en lisant ça, c'est dommage. Même si quand je lisais j'avais envie de savoir la suite, j'ai mis longtemps à le lire, parce que souvent je n'avais pas envie de lire, en tout cas, le bouquin est intéressant, mais il faut vraiment s'y plonger dedans, sinon, il est tout simplement bof, même si on s'attache un peu aux personnages et on espère une meilleure fin. D'ailleurs la fin est belle au niveau de ce que ça signifie, mais ça m'a un peu déçue.