Extrait de <<Tentation>>, Chapitre 6. Stephenie Meyer.
Samedi 1er août 2009 à 11:19
[...] Ce fut une drôle de journée. Je m'amusais bien, y compris chez le ferrailleur, sous la pluie battante et de la boue jusqu'aux chevilles. D'abord, je mis ça sur le compte du contrecoup consécutif à la perte de mon apathie, puis cette explication me parut un peu maigre. C'était plutôt, et pour l'essentiel, la présence de Jacob. Pas seulement parce qu'il était presque toujours content d'être avec moi, ni parce qu'il ne me reluquait pas du coin de l'oeil, guettant un geste susceptible de prouver que j'étais folle ou dépressive. Cela n'avait aucun rapport avec moi; ça ne tenait qu'à lui seul. Il était d'une nature heureuse et transportait cette joie de vivre partout avec lui, telle une aura, en contaminant quiconque se trouvait dans les parages. Tel un soleil, il réchauffait ceux qui avaient l'heur de se trouver dans le champ de son rayonnement. De façon naturelle qui plus est. Pas étonnant donc que je m'accroche à lui comme une moule à son rocher. [...]
Donne ton opinion
La discussion continue ailleurs...
Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://nessiecullen.cowblog.fr/trackback/2879238